N° 48, novembre 2009

La philosophie de la création dans l’œuvre de Mozart
(en opposition avec la dialectique hégélienne)


Monsif Ouadai Saleh


La musique de Mozart tient le secret éternel des fusions cosmiques qui viennent à la sensation dans leur pure immanence. L’immanence s’incarne dans la fusion qui constitue la syntactique pure de la fluidité. Rien ne force le principe à devenir existence. Le plus grand anti-hégélien appartient à la philosophie qui n’a pas de concept ou au concept qui n’a pas de philosophie : la musique. Le concept dans la pure mouvance du son résilie la dialectique. Et l’œuvre de Mozart résilie toute la philosophie de Hegel par le son qui dirime les antinomies syntactiques de l’existence. L’existence pour Mozart est une mouvance capable de se générer sans la réduction à l’antinomie, sans la négativité avec la transfusion des déliements. La musique de Mozart transcende les nœuds. Elle cherche la pureté de l’immanence qui s’articule aux déliements, à l’ouverture qui n’a pas de traces dialectiques. L’autonomie du principe dynamique de la déliance est l’œuvre de Mozart. La mouvance ne vient pas du néant. Elle vient de la maturité de l’existence avec l’immédiat du mouvement, de l’action, qui dénoue le compact de la dialectique.

Motet de Dieu est notre refuge par Wolfgang Amadeus Mozart

Dans l’œuvre de Mozart la solution ne devient pas consistance. Toute consistance est vouée à la réification. Elle ne devient pas dénouement. Le dénouement est discontinu. Elle ne devient pas synthèse d’un ordre de tractatus. Le tractatus est intransposable. Il est fixation de la transposition, de l’étymologie transpositive. Or, la transposition au sens de position interne dynamique exprimante de la relation, de la liberté, de la pureté étymologique de la liberté est le fondement du devenir dans l’œuvre de Mozart. En vérité, il me faut un terme qui définisse une transposition interne et implicite, un terme qui serait une intra-position relationnelle, une interface de la position qui articule selon l’ordre de la communion l’explicite et l’implicite. Il me faut un terme qui décrive une position immédiate et en même temps une relation dia-médiate. Ce terme aura la spécificité de joindre l’immédiat instantané à la grandeur étendue de la conscience. Dans cette perspective, le nœud qui neutralise le pouvoir du désir et fonde l’être sur le pouvoir de la position se retire à l’arrière-plan. Le nœud ne devient pas l’aporie de la dia-médiation. La transcendance de l’aporie comme Mozart en constitue l’ordre, la structure et l’énergie relève donc d’un immédiat qui se situe dans la dia-médiation, d’un immédiat capable de devenir la conscience de la relation et la conscience de la liberté. C’est-à-dire ce que j’aurais volontiers tendance à nommer la dia-médiation. Mais l’important dans l’œuvre de Mozart, et c’est par là qu’il dépasse radicalement Hegel, est que la dia-médiation elle-même se donne comme immédiate. Le temps dans son aspect syntactique et duratif, le temps de la durée, devient la synthèse de l’être. Ce que réalise de prime abord l’œuvre de Mozart c’est de donner au temps l’unité de la durée. Il donne à la durée l’unité de l’immédiat. Ainsi la relation voyage avec son unité conscientielle. La relation devient dispensatrice de l’unité. La liberté devient édificatrice de l’unité. Cette découverte de l’unité, ou l’unitude, qui n’est pas aporétique de par son sens de l’être, son ontologie, qui n’est pas aporétique une fois confrontée à la liberté ou à la relation, détermine la nature et l’ampleur du tournant non dialectique de Mozart. Elle détermine l’ampleur du triomphe de Mozart sur Hegel. Ce que propose donc la négation de la dialectique opérée par Mozart est la dia-médiation grâce à l’immédiat qui est à la fois totalité et unitude.

Ce qu’enseigne avec la puissance de l’immédiat l’œuvre de Mozart est l’évidence que la réification de la solution est la véritable aporie de l’être face à ses principes dynamiques, le désir entre autres. La réification du désir est une aporie purement attachée à la dialectique. La solution dans l’œuvre de Mozart est tout à fait différente. Elle diffère par la spontanéité, par l’immédiateté et par la liberté étymologique qui est maturité sans différence. Elle n’est pas ancrage de la présence dans la conscience de la maturité dialectique. La dialectique est par ailleurs toujours soit immature soit réificatrice. Elle peut être l’une et l’autre distorsion à la fois. Dans l’œuvre de Mozart, la solution devient tout simplement étymologique dans la mesure où la transposition est la pureté même d’une liberté fluide capable d’infirmer le protéiforme dans une seule forme : l’harmonie. La transposition est l’immédiat de l’harmonie.

La genèse est l’immédiat révélé par l’immédiat tenant toute la constance et la consistance de maturité immédiate. La mouvance est la pureté des déliements. L’être, le sens et la maturité sont dans un œcuménisme de déliance qui tient de la pureté éternellement résistante au statique. Pari impossible mais traduisible du rapport du nœud, de la dialectique à sa transfiguration radicale dans la dynamique, la figure de rupture avec le nœud. La musique de Mozart est aussi une rupture avec la trace et la répétition. A l’antipode de Hegel, l’absolu mozartien relève de l’Esprit dynamique qui transcende instantanément l’aliénation comme trace de la négativité dans la valeur suprême de la présence. Il y a dans l’œuvre de Mozart une synthèse immédiate qui ne devient thèse ou présence que dans la mesure où l’antithèse est pure non-sens. Le point imaginal intuitif de la présence ne remplit pas la fonction d’un principe de mouvance corrective donc dialectique du sens, mais celle d’une mouvance ordinative qui s’ouvre sur l’Esprit ordinal de plain-pied avec son ordre thétique qui est en même temps un ordre diathétique. La diathèse est le sens immédiat du dénouement fierique. Ceci veut dire que le dénouement n’est pas une fin. Le dénouement est une incarnation du devenir. Le dénouement est un déliement du nœud, déliance de la présence immédiate dans le devenir immédiat…

Portrait de Wolfgang Amadeus Mozart par Barbara Krafft

La synthèse postule la thèse qui se dénoue pour absorber et désorber l’être selon la présence qui répond aux exigences ultimes et sublimes de l’immédiat. Il faut comprendre que la mouvance pour Mozart est double : elle est absorption et désorption. La synthèse postule la thèse, la thèse postule la présence pour générer un statut éternel de l’Esprit immédiat. L’esprit absolu de l’immédiat qui traduit toutes les syntactiques génétiques de l’évolution en posant la synthèse au point culminant de la déliance est la métaphysique de l’être qui fait triompher Mozart sur Hegel. Pour Mozart, la métaphysique ne meurt pas dans l’Esprit ni l’Esprit dans la métaphysique, l’Esprit ne meurt pas dans l’absolu ni l’absolu dans l’Esprit. Il n’y a pas dans l’œuvre de Mozart cette relation de contraction qui caractérise l’esprit philosophique du pour-soi voulant être la liberté ontologique de l’essence, ni l’exclusivité contractée de l’Absolu qui caractérise aussi l’en-soi philosophique. L’exclusif intrinsèque est le fondement de la liberté dialectique. Le fondement de la liberté harmonique instituée par Mozart est l’inclusif intrinsèque. Le sens de la relation repose sur cette inclusivité harmonique qui ne destitue pas mais absorbe en donnant au sens de l’infini la structure d’une complétude qui traduit immédiatement la totalité. La relation doit instaurer la totalité. La totalité doit instaurer la liberté. La liberté doit instaurer l’immédiat. L’immédiat est cette hauteur grandiose de l’Esprit qui se génère relation et continuité indéfectibles.

La postulation dialectique de la liberté (le pour-soi) ou de la totalité (l’en-soi) ne constitue pas l’essence de la relation dans l’œuvre de Mozart. Dans l’œuvre de Mozart, la forme nodale de l’absolu devient décontraction. Ce qui implique un processus de libération de l’en-soi dans le système dynamique du pour-soi. L’en-soi est la liberté du pour-soi. Dans cette perspective, il n’y a pas opposition entre ontologie et essence ou entre principe et totalité. Voilà la raison qui explique pourquoi l’ordre de Mozart n’est pas négativement dialectique. Il n’est pas aussi positivement dialectique parce que la positivité avait l’inhérence de l’harmonie de la relation d’une manière immédiate. C’est pourquoi ce qu’on pourrait appeler l’harmonie positive est possible même quand il s’agit de nouer le nœud. Mais le besoin ne se ressent pas. Le nœud est imperceptible ou fugace dans la dynamique intrinsèque de la relation. Le nœud est éphémère. La courbure est d’une transitivité sublime. La relation est infiniment transitive dans la correspondance entre le postulat et la postulation. La distance se réduit à l’harmonie inclusive. L’écart traduit la possession. La transitivité traduit la proximité. La relation traduit la liberté dans une totalité immédiate avec la courbure de l’exception, une exception qui relève à la fois de la substance holiste et de la substance moniste. La liberté relationnelle ou syntactique totalement proximale voilà dans une seule expression le sens de la transposition dans l’œuvre de Mozart.

Une courbure sans courbure et une exception sans exception. Ceci relève de la négation de la dialectique sans que la négation soit raison de l’être, sans que l’être soit raison de la négation. La réduction transpositive du même contradictoire est la seule vérité de l’ontologie de la relation et de la liberté dans l’œuvre de Mozart. La transposition qui fait trait de la réduction et de la négativité est celle qui dirime et dépasse la dialectique hégélienne. Il n’y a pas alors nécessité de s’attarder sur une opposition centrale. L’opposition glisse et dérive à l’infini dans le corps de l’éphémère, dans l’inconsistance. Chaque fois que la liberté impulse la transposition, la dérive de la dialectique s’enfonce davantage dans la rupture avec l’être. La dialectique devient non-être. Cette rupture est l’image même du principe apathique. C’est pourquoi, dans toute dialectique, ce qui échoue le premier dans l’ordre de la prévalence ontologique est la liberté qui institue l’être.

Dans la dialectique, l’être de la liberté est un échec tragique. Dans la dialectique, l’être devient impossible à la liberté et la liberté impossible à l’être. Dans la dérive mozartienne, la liberté ne distance pas l’être. L’être et la liberté distancent le nœud, la contraction. Ce que suggère l’œuvre de Mozart à l’être, c’est le possible ou le possible de la relation, de la transposition pure ouverte sur la liberté, sur la connature entre l’être et la liberté. La pureté de la transposition se veut avant tout attachement à l’immanence. La pureté pour Mozart est révélation de la transposition immanente. La transposition a pour condition dynamique de toucher immédiatement la pureté de l’immanence. L’immanence pure de la transposition devient la pureté de l’être dans la pureté de la liberté. La transposition immanente installe la connature entre la liberté et l’être.

Pour Mozart, la transposition est l’immanence qui transite sans perdre sa nature, sans se dénaturer. La relation est l’esprit de cette transposition en tant qu’immanence de la liberté à l’être et de l’être à la liberté. L’immanence est cette relation en tant que connature immédiate. Il faut dire en fait que ce qui constitue pour la plupart des philosophes un statut dialectique et une dialectique aporétique entre l’être et la liberté est pour Mozart une donnée immédiate de la structure relationnelle et de la structure conscientielle. En quoi cette position est antidialectique ? L’immédiat ne cherche pas la relation à la liberté. Il est la liberté qui s’articule à l’être comme sa propre nature. La liberté anticipe la relation en lui donnant le statut d’une présence foncière dans l’être. La liberté est la nature de la relation. Pour Mozart, la relation vient immédiatement dans la complétude de la liberté. L’être vient dans la complétude de la relation. Si la dialectique est l’incomplétude qui cherche un tractatus, un consensus autour de la complétude, la liberté mozartienne part de la complétude de la relation vers la complétude de l’être. Ceci ne veut pas dire qu’il y ait un écart entre la relation et l’être. La complétude de la relation confirme la complétude de l’être dans une sorte d’anticipation qui ne rompt pas l’immédiat. L’immédiat pour Mozart est une totalité immanente ou pan-immanente. La dialectique n’a pas de place dans cette totalité parce que l’immédiat investit une complétude totale de l’immanence. L’immanence vient par conséquent comme l’être accompli de la relation, de la liberté, de l’être.

Le possible est la connature de la liberté et de l’être. Le possible déplace la rupture de la nécessité au contingent. La liberté en fait de même. Seulement sa dérive est possible continu d’une synthèse toujours immédiate et toujours harmonique. La liberté mozartienne est la dérive du même dans la transposition, dérive du même dans la relation. Elle est incarnation de l’immédiat transpositif. Ce même est sans répétition. Comme je l’ai déjà dit dans un autre texte, la totalité ne se répète pas. L’immédiat qui est l’essence de l’œuvre mozartienne institue la relation comme substance de la non répétition. La liberté traduit la relation. Leur rapport est une harmonie sublime qui nomme l’intrinsèque en relation avec sa totalité immédiate. La dialectique se trouve marginale. L’essence traverse son apparence avec la totalité requise pour que la hiérarchie devienne œcuménisme. La relation progresse librement sans que la liberté soit distance ou hiérarchie. C’est l’exploit ontologique de la relation et de la liberté fondé intrinsèquement par Mozart. La dialectique est éphémère : voici l’axiome ontologique fondateur de la liberté mozartienne. Cet axiome prend sa définition ontologique en référence à cette implication que la relation ne saurait être devenir essentiel sans son immanence à la liberté. Mozart est le plus grand immanentiste qui soit. La première révélation qui tient de l’ordre de l’ordination est que la liberté mozartienne ne polémique pas. Elle vient au monde avec la distinction ordinée et non ordonnée. L’ordination vient à l’existence par la béance harmonique de la relation. Le nœud y oublie la mémoire violente de la généalogie.


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7 Messages

  • un texte poétique qui nous permet de laisser libre cours à notre imagination. un travail vertigineux sur les mots qui marque une maturité indéniable dans une approche comparative suggestive plus qu’explicative. nous avons besoin,et M.MONSIF en est conscient d’un pouvoir parfois sadique sur les mots, comme si on essorait le linge, afin de mettre en marche l’imagination etla réflexion.

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  • merci beaucoup cher ami ABDELOUAHID pour votre lecture et votre commentaire enrichissant. il y a dans chaque noeud un horizon d’ouverture. l’ouverture c’est l’imagination qui tend à se nouer mais en insistant sur la transition ou la transitivité. la contraction est aussi poétique. elle est d’une beauté qui n’est pas nécessairement contraction. la génération se permet ainsi la négation ou tout simplement la résistance à l’identique. il y a là toute une philosophie du renouveau. ce qui me fascine dans l’oeuvre de Mozart est cette sorte de liberté féconde dans les articulations : la liberté transfuge. rien ne légitime le ton péremptoire ou absolu de la dialectqiue hégélienne. l’être a besoin de distance au coeur même des étreintes et des noeuds... c’est la leçon mozartienne.

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  • Un texte profond ou la philosophie rencontre la musique. Il m’est très difficile à comprendre. Qu’elle joie de le lire ; quelle chance de te connaître.

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  • merci cher ami Hassan pour ton passage qui porte la trace de la parole. Je suis très heureux que mon texte révèle la sensibilité de la jonction entre la philosophie et la musique. Il ne faut pas oublier que la Lyre comme l’archétype habite le ciel. Merci pour ta lecture et ton appréciation.

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  • N’est pas Ricoeur qui veut. (¿Mais cet article est-il une boutade ?)

    Fallait-il prouver une supériorité de Mozart sur Hegel ? Et qu’en est-il des macarons de la Tour d’Argent ? Des jardins de Le Nôtre ? Des arias wagnériens ? Des courses de trottinettes ? Du concept de non-aliud chez De Cues ? ...

    Péremptoire et parfaitement — par défaut ! — absconse, cette "réflexion" est bien vaine... Quand une "pensée" n’est guère pénétrable que par elle-même, elle est triste à pleurer... "Poésie" disent certains... Au secours Derrida et Lacan, Schopenhaeur et Heidegger, Deguy et Corbin, Averroès et Darwich .... Come back Montaigne...

    "Criez d’un passant à nostre peuple : O le sçavant homme ! Et d’un autre, O le bon homme ! Il ne faudra pas à destourner les yeux et son respect vers le premier. Il y faudroit un tiers crieur : O les lourdes testes ! Nous nous enquerons volontiers, Sçait-il du Grec ou du Latin ? escrit-il en vers ou en prose ? mais, s’il est devenu meilleur ou plus advisé, c’estoit le principal, et c’est ce qui demeure derriere. Il falloit s’enquerir qui est mieux sçavant, non qui est plus sçavant." Essais, I, 25 "Du pédantisme".

    Ceci fut dit amicalement.

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  • J’ai lu ton commentaire cher monsieur ainamachroul avec indulgence souriante pour son apport essentiellement anti-pensée qui l’anime depuis le seuil de ta réflexion. Depuis ce seuil qui reste un seuil, tu écris le contraire de l’esprit le plus primaire : tu fausses l’intuition réflexive par l’intuition identificatoire. Je n’écris pas pour être un Ricoeur. Tu fausses l’esprit de ta référence en imposant à Montaigne l’altérité gratuite de l’admiration : tu sais sans doute que un vrai écrivain est le livre de sa subjectivité. Et le dépassement qu’opère la création réside d’abord dans le dépassement de la subjectivité. Ce qui veut dire que le texte ne dit pas plus Hegel ni Mozart autant qu’il me dit dans une relation plus introspective que projective. Je ne me réfère pas à la réduction abusive de la référence comme je me réfère à l’irréductibilité de l’acte de penser avec la non-condition des écluses et des aliénations. j’aurais aimé lire dans ton commentaire une boutade qui te libère de l’idolâtrie. J’aurais aimé lire aussi une critique qui ouvre à mon texte des horizons d’aspiration, de transcendance, ou pourquoi pas de conversion puisque mon écriture t’a poussé à une prise de position. Mon texte n’a pas d’argument plus authentique et plus péremptoire que ce que tu lui refuses contre la tendance matricielle de la création, à savoir, sa spontanéité, son élan, son élévation, son numen... Tu ne peux pas critiquer mon texte sans porter atteinte à l’essence même de la création. Et si tu veux argumenter contre ce texte, je te montre le chemin : détruire son autopostulation. Je n’ai pas cherché à montrer la supériorité de Mozart, mais la supériorité de l’être de Mozart. Mozart est un élan de l’être qui ne se réduit pas exclusivement à l’autorité du concept. L’être est plus grand que le concept... Il y a beaucoup de choses à ajouter, mais je trouve que ce qui est insignifiant répulse plus que ce qui est vaine
    ...

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  • Merci pour ce texte qui en aiderait plus d’un à tenter de comprendre la musique de mozart.
    cependant le texte est un peu compliqué pour les non initiés (dont je ne croyais pas faire partie)

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