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CAHIER DU MOIS |
La province d’Ispahan, un foyer de la culture et de l’histoire de l’Iran (II)
La Grande mosquée d’Ispahan
Golpâyegân et son héritage architectural seldjoukide
Abyaneh,
un bijou rouge au cœur du désert
L’Écomusée du Dr Rahgoshay à Badroud :
Un outil pédagogique au service de la sauvegarde du patrimoine et de la promotion de l’identité nationale
CULTURE
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Repères
Les populations roms en Iran
Littératurre
Esthétique de la poésie lyrique de Saadi
A l’occasion du dix-septième anniversaire de la disparition du fondateur de la république islamique d’Iran, la Revue de Téhéran a choisi d’évoquer, en guise de remémoration, la période prérévolutionnaire de la biographie du regretté Imam.
L’Imam Khomeiny a vu jour le 24 septembre 1902 au sein d’une famille religieuse, dans la ville de Khomein, dans le département Markazi de l’Iran. Son père, le défunt Ayatollah Seyed Mostapha Moussavi fut l’un des contemporains de l’Ayatollah Mirzaï Chirazi. Rouhollah, (...)
"Les mitraillettes n’auraient plus lieu d’être si les plumes étaient au service de Dieu et du peuple".
Imam KHOMEINY
Le 4 juin, le mausolée de l’Imam KHOMEINY accueillait de nombreux iraniens pour célébrer le 17ème anniversaire du décès d’un penseur, en même temps guide qui est considéré par beaucoup comme l’un des hommes les plus influents du XXe siècle. Le 4 juin 1989, une foule de quelques millions d’iraniens se réunissait sur le sol qui devait bientôt accueillir le futur mausolée de l’Imam. Le 5 du (...)
L’histoire de la miroiterie en Iran remonte à l’époque Safavide, au règne de Châh-Abbass (1587- 1626 ap.J.C). Le Coran y fait allusion dans la sourate de Youssef, et la légende raconte qu’à l’époque du prophète Suliman, il existait déjà un art de la miroiterie colorée (bleu et vert). C’est avec la découverte du feu que l’homme a appris à fondre les cailloux blancs de la rivière Siliss pour obtenir des globules de verre. La miroiterie fut le premier pas fait par l’homme dans le sens de l’embellissement de son (...)
Du 29 mai au 2 juin 2006, le grand ensemble des Palais de Sa’ad Abad a accueilli l’étonnant festival des voitures de collection à Téhéran. Organisée par la Fédération du sport automobile, cette manifestation fut l’occasion, pour les passionnés et autres curieux de belles mécaniques, d’admirer des spécimens rares à quatre roues dont certains, exposés pour la première fois, méritaient, à n’en pas douter, le détour. Les inertes mais dignes représentants des années cinquante, soixante et soixante-dix, autrement (...)
Nous-y voilà. La grande guerre. Le grand conflit (dés)armé des nations. Après quatre interminables années de cessez-le-feu, les canonniers des quatre coins du monde se retrouvent enfin face-à-face. Pendant ce temps, les conflits régionaux ont fait rage, au cours desquels les foules en délires n’ont eu de cesse d’haranguer les robustes belligérants aux jambes d’acier. La dernière mêlée régionale s’est soldée par la défaite non méritée de l’Arsenal anglais face aux arquebusiers espagnols de Barcelone. Un choc (...)
Propos de Gilberte Tsaï
Recueillis par
Intervention de Gilberte Tsaï à la maison des artistes de Téhéran à l’occasion des journées de la francophonie.
L’intitulé de ma conférence est "Le théâtre contemporain en France : nouvelles tendances". C’est peut-être un titre un peu ronflant ; venant de moi j’entends, car je ne suis pas historienne du théâtre et j’aurais bien du mal à rendre compte de la diversité du théâtre contemporain en France. De plus, ma vision sera fatalement personnelle étant donné que je n’ai pas l’objectivité des historiens. Je suis (...)
Servant de modèle aux autres colonies françaises, les guerres d’Indochine et d’Algérie donnèrent lieu à d’autres revendications indépendantistes, en particulier en Afrique. Après de longues années de luttes sanglantes et de sacrifices, le Rêve se réalise. Le joug est levé, l’Afrique se libère. Les colons, les toubabs (blancs) racistes et exploiteurs se retirent pour laisser la place aux tyrans indigènes, aux autocrates totalitaires et souvent sanguinaires.
Grâce aux putschs, coups d’état, aux"magouilles" (...)
Shams Langaroudi
Traduit du persan par
Une fois la révolution de 1357 aboutie, les traditionalistes s’escrimèrent à mettre la poésie classique au service de la révolution. Mais les particularités de la poésie classique faisaient obstacle à l’accomplissement de cet effort. Très vite, ils comprirent la difficulté d’exprimer des vérités palpables au travers de symboles stéréotypés, à l’intérieur d’un cadre lexical limité ; chose que Nima avait au début du siècle expérimentée pour en arriver à une théorie : avec minutie, il fit de la poésie le miroir (...)
Le mois dernier, la Faculté des Beaux Arts de l’Université de Téhéran a organisé un colloque autour du théâtre d’Eugène Ionesco, "père du nouveau théâtre", selon l’expression du professeur Kamyabi Mask, ami proche et spécialiste de renommé internationale du dramaturge, et principal organisateur de la manifestation. On a également participé au rassemblement, Farhad Nâzerzadeh kermâni, Ghotbeddin Sadeghi, Farshid Ebrahimian et Saïd Assadi, tous spécialistes et professeurs de théâtre. A l’occasion de cette (...)
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