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CAHIER DU MOIS |
Le cheval en Iran : des steppes nomades aux chefs-d’oeuvre de l’art et de la littérature
Le cheval, fétiche pour les nomades comme pour les sédentaires
Le nisaen, une race de cheval iranien éteinte
Rakhsh,
l’épopée de l’Aryen et de son cheval
La figure du cheval dans les œuvres
d’Abdol-Samad Shirâzi
Le cheval dans la culture iranienne
CULTURE
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Littérature
La dualité droite-gauche en Iran : représentation dans la littérature classique persane
Repères
Réflexions sur le langage dans la pensée philosophique antique : de l’Inde à la Grèce
Arts
La fondation des écoles d’Art
à Ispahan et à Tabriz
Mosquée Goharshad, Mechhed, Iran
LECTURE
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Poésie
Charles Baudelaire.
Mohammad Sedghi Âlânogh
Traduit et adapté par
ignifiant littéralement "désir", le "hadj" (pèlerinage à La Mecque) désigne le désir des musulmans pour la visite de la Demeure de Dieu en vue d’accomplir les cérémonies du pèlerinage de La Mecque. C’est la raison pour laquelle les traditions appellent les pèlerins de La Mecque, "des invités de Dieu". D’ailleurs, la pensée mystique considère ce pèlerinage comme un effort pour se rapprocher du Bien-Aimé et Le rencontrer. La visite de la Maison de Dieu est un prétexte pour rencontrer le Seigneur de cette (...)
Recteur de Saint-Joseph, Beyrouth
N° 165, août 2019Nous publions ici l’introduction écrite par le Pr Salim Daccache, recteur de l’Université Saint-Joseph depuis 2012, de l’ouvrage Les religions au service de l’homme (Dar Albouraq), rassemblant des textes choisis de l’Imam Moussa Sadr écrits avant sa disparition en Libye en 1978. Outre leur intérêt intrinsèque pour acquérir une meilleure connaissance de sa pensée et des questions liées à la nature de l’islam et des monothéismes, ces textes se révèlent être d’une grande actualité pour poursuivre une (...)
Faire que l’art et la vie aillent de pair
La fondation Maeght est une fondation pour l’art vivant, elle a ouvert ses portes en 1964, à Saint-Paul-de-Vence, un village provençal perché, entre Cannes et Nice, sur la Côte d’Azur, à deux pas de la mer Méditerranée. Cette fondation n’est pas une galerie, car elle n’a pas avant tout de vocation commerciale, tout comme elle n’est pas un musée, dont elle se distingue, car elle ne collectionne pas seulement des œuvres qu’elle classerait, restaurerait et (...)
Le 16 septembre 1978, un grand séisme d’une magnitude de 7,8 sur l’échelle de Richter frappe le centre de l’Iran. Le foyer du séisme se situa à une profondeur de 10 kilomètres et à la surface, l’épicentre se trouva à une dizaine de kilomètres de la ville de Tabas (province du Khorâssân du Sud). Les ondes sismiques très puissantes dévastèrent la ville de Tabas et plus de 85 villages de cette région désertique. Selon les estimations de l’époque, entre 15 000 et 25 000 personnes perdirent la vie lors de cette (...)
La mosquée Bibiheybat est le lieu sacré le plus important de la République d’Azerbaïdjan. Ce monument est un lieu de culte et une mosquée chiite au bord de la mer Caspienne à quelques kilomètres au sud de Bakou, capitale de la République d’Azerbaïdjan.
La mosquée actuelle a été construite dans les années 1990 et elle représente une version restaurée de la même mosquée construite par les Shervânshâh, souverains locaux d’Arrân au cours de la seconde moitié du XIIIe siècle.
La mosquée construite au XIIIe siècle (...)
Présenté et traduit par
N° 165, août 2019Sohrâb Sepehri est né le 7 octobre 1928 à Kâshân, en Iran. Il est souvent tenu pour l’un des cinq plus grands poètes modernes iraniens avec Nimâ Youshij, Ahmad Shâmlou, Mehdi Akhavân-Sales et Forough Farrokhzâd.
Sohrâb Sepehri a dédié le poème « Les pas de l’eau » à sa ville natale, Kâshân, où il a vécu la première partie de sa vie.
Sepehri était aussi l’un des principaux peintres modernistes d’Iran. Connaisseur notamment du bouddhisme, du soufisme et des écoles mystiques d’est ou d’ouest, il a mêlé les concepts (...)
u’est-ce que les vacances ? La question peut paraître simple, mais la réponse est incroyablement complexe, car même pour définir les vacances, il est indispensable de prendre en considération plusieurs éléments différents.
Le concept de « vacances » n’est pas une notion moderne, mais sa signification a beaucoup changé depuis la première moitié du XXe siècle. Aujourd’hui, les vacances signifient une période pendant laquelle une personne cesse ses activités habituelles. Mais les vacances ne sont pas (...)
Les vacances sont une période de temps pendant laquelle une personne ou toute une société cesse ses activités habituelles. Mais nous vivons aujourd’hui une époque où la signification des vacances a changé de façon perceptible par rapport au passé. Autrefois, si les gens cessaient leurs activités habituelles, c’était essentiellement pour s’occuper ensemble d’autres activités prédéfinies comme des cérémonies ou des fêtes rituelles. Les « vacances » n’étaient donc pas destinées à ne « rien faire » ou à « faire (...)
En Iran, les vendredis sont les seuls jours fériés de la fin de la semaine. Quant aux jours fériés nationaux, ils célèbrent généralement le souvenir d’un événement historique, religieux ou culturel. Dans le présent article, nous allons voir de près l’origine de quelques-unes de ces dates déterminantes du calendrier iranien en nous appuyant sur les sources historiques. Le 1er farvardin (21 mars) : le premier jour du Nouvel An, la fête de Norouz
À l’instar de la nature qui se renouvelle et se régénère au (...)
En Iran, les jours fériés se divisent en trois catégories : les jours « nationaux », révolutionnaires et religieux. Cette dernière catégorie, qui représente 15 jours de l’année solaire, comprend les fêtes islamiques, l’anniversaire de la naissance du Prophète et des Imâms chiites, ainsi que la célébration de leur décès ou martyre. Les jours religieux, suivants, sont fériés dans le calendrier iranien : 27 Rajab (fête de Mab’as, début de la mission prophétique de Mohammad), 1e Shawwâl (fête de l’Aïd el-Fetr), 10 (...)
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