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CAHIER DU MOIS |
Les pierres précieuses en Iran : histoire et croyances
Les Joyaux de la couronne d’Iran
La présence de la thématique des pierres précieuses
dans les anciens documents scientifiques persans et dans la poésie persane
Le rubis et le grenat
dans la poésie classique iranienne
La turquoise iranienne :
historique et pratiques artistiques
Le tourisme de mine en Iran :
le cas de la mine de turquoise de Neyshâbour
PATRIMOINE
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Itinéraire
L’Irak, cœur d’Irânshahr
CULTURE
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Repères
L’art politique iranien de 1953
à la Révolution islamique de 1979
(1ère partie)
Marzieh Hadidchi,
femme combattante révolutionnaire
Archéologie :
les piles électriques des Parthes
FENÊTRES
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Boîte à textes
Mon Aznamour à moi
Faranguis, brave fille d’Iran
Pourquoi mange-t-on les animaux ?
Un musée du patrimoine rural de la région du Gilân est actuellement en cours de réalisation. Unique en son genre au Moyen-Orient, ce musée est situé dans le parc forestier de Sarâvân (sur la route Rasht-Téhéran) et couvre une superficie de près de 200 hectares. Ce projet a été établi grâce à la collaboration de la Direction du patrimoine et de l’architecture du Ministère Français de la Culture et de la Communication, l’Université d’Aix en Provence, l’Ecomusée d’Alsace, et sous le patronage de l’UNESCO. Les (...)
Le dôme de Soltânieh, par sa majesté, constitue l’un des joyaux architecturaux de l’Iran. Selon les épigraphes disponibles datant de la période assyrienne, au VIIIème siècle avant J. C., la terre de Soltânieh a longtemps abrité la tribu des Sakarats. Les Mèdes lui donnèrent le nom d’ " Aribad" et les Parthes, le nom de leur roi, " Orsâse". C’est dire à quel point le territoire de Soltânieh est susceptible de renfermer de précieuses données historiques ; Avant même l’arrivée des tribus mongoles, cette région (...)
Viens avec moi pleurer sur l’homme d’aujourd’hui
Le pauvre, il a perdu le sens de l’amour
" De la musique avant toute chose " disait alors Verlaine ; aujourd’hui, c’est encore le degré de musicalité qui fait en grande partie la force du poème. La musique est le moule qui confère sa forme à la parole, qui démultiplie le verbe, qui l’habille de ses belles notes, qui à voix haute, séduit l’oreille, et l’esprit à voix basse. Telle est la poésie mochirienne. On l’écoute, on l’entend, on la fredonne à l’infini. (...)
Saïd Naficy
N° 7, juin 2006Journal de Téhéran
Mardi 23 Juin 1936,
2 Tir 1315
Monsieur Saïd Naficy, ancien collaborateur du Journal de Téhéran a bien voulu nous expédier en texte français la traduction d’un article se rapportant au grand orientaliste et diplomate allemand Friedrich Rosen.
Nous reproduisons intégralement et textuellement cet article ainsi que son introduction, tels que rédigés et envoyés par l’auteur lui-même en laissant à nos lecteurs le soin de relever toute la finesse de conception et de style qui nous font (...)
Les œuvres de Ali Hâtami sont toujours tentantes à voir. Pour notre génération dont l’enfance et l’adolescence ont été imprégnées des films tels que " Hézâr Dastân " (le rossignol), "Kamâl-ol-molk" et "Délchodégân " (les épris), cette tentation est beaucoup plus forte, et ne se limite pas seulement à voir le film. L’image qui existe dans notre mémoire des époques Pahlavi et Qadjar est celle que Hâtami nous a laissée, on compare même les photos de l’ancien Téhéran avec le Téhéran de Hâtami, ce qui arrive rarement (...)
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