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CAHIER DU MOIS |
Le cheval en Iran : des steppes nomades aux chefs-d’oeuvre de l’art et de la littérature
Le cheval, fétiche pour les nomades comme pour les sédentaires
Le nisaen, une race de cheval iranien éteinte
Rakhsh,
l’épopée de l’Aryen et de son cheval
La figure du cheval dans les œuvres
d’Abdol-Samad Shirâzi
Le cheval dans la culture iranienne
CULTURE
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Littérature
La dualité droite-gauche en Iran : représentation dans la littérature classique persane
Repères
Réflexions sur le langage dans la pensée philosophique antique : de l’Inde à la Grèce
Arts
La fondation des écoles d’Art
à Ispahan et à Tabriz
Mosquée Goharshad, Mechhed, Iran
LECTURE
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Poésie
Charles Baudelaire.
Pourquoi le festival "Au sud du cinéma" concerne certains pays en particulier, et quels sont ces pays ? Selon quels critères les films sont-ils sélectionnés ?
Agnès Devictor : Nous ne sommes pour rien dans le choix des pays, ni dans celui de la programmation. L’objectif d’une programmation c’est d’associer des films, les mettre en rapport. Il s’agit de visualiser des films et d’établir des liens après coup. Le film cambodgien, par exemple, avait des points communs évidents avec le film tunisien. (...)
Monireh Borhani
Traduit par
Cheykh Owhadoddin Ben Hossein Owhadi Maragheï Esfahani compte parmi les célèbres poètes et mystiques des VII et VIIIème siècles de l’hégire. Pour certains, le surnom de Owhadi, vient de Owheddine et pour d’autres de Roknoddine. Pour certains, il est natif d’Ispahan et pour d’autres sa ville natale est Maragheh.
Au début de sa carrière, il prit pour pseudonyme littéraire, le nom de Safi qu’il changea plus tard en Owhadi. Son recueil de poèmes "Jamé Jam", fut achevé en 733 de l’hégire, alors qu’il avait 60 (...)
Nadjaf Dariabandari a créé la surprise en publiant un ouvrage, en deux volumes de 984 pages chacun, sur la cuisine du monde et la cuisine iranienne en particulier.
Pendant près de 40 ans, il a rassemblé de nombreuses notes et documents. Avec l’aide de sa femme Fahimeh Rastkar et de son ami éditeur M. Zahraï, il a publié cette oeuvre qui est devenue aussitôt une référence en la matière.
Dans son introduction, il explique qu’il est avant tout passionné par les lettres, mais également par la peinture et (...)
Un musée du patrimoine rural de la région du Gilân est actuellement en cours de réalisation. Unique en son genre au Moyen-Orient, ce musée est situé dans le parc forestier de Sarâvân (sur la route Rasht-Téhéran) et couvre une superficie de près de 200 hectares. Ce projet a été établi grâce à la collaboration de la Direction du patrimoine et de l’architecture du Ministère Français de la Culture et de la Communication, l’Université d’Aix en Provence, l’Ecomusée d’Alsace, et sous le patronage de l’UNESCO. Les (...)
Le dôme de Soltânieh, par sa majesté, constitue l’un des joyaux architecturaux de l’Iran. Selon les épigraphes disponibles datant de la période assyrienne, au VIIIème siècle avant J. C., la terre de Soltânieh a longtemps abrité la tribu des Sakarats. Les Mèdes lui donnèrent le nom d’ " Aribad" et les Parthes, le nom de leur roi, " Orsâse". C’est dire à quel point le territoire de Soltânieh est susceptible de renfermer de précieuses données historiques ; Avant même l’arrivée des tribus mongoles, cette région (...)
Viens avec moi pleurer sur l’homme d’aujourd’hui
Le pauvre, il a perdu le sens de l’amour
" De la musique avant toute chose " disait alors Verlaine ; aujourd’hui, c’est encore le degré de musicalité qui fait en grande partie la force du poème. La musique est le moule qui confère sa forme à la parole, qui démultiplie le verbe, qui l’habille de ses belles notes, qui à voix haute, séduit l’oreille, et l’esprit à voix basse. Telle est la poésie mochirienne. On l’écoute, on l’entend, on la fredonne à l’infini. (...)
Saïd Naficy
N° 7, juin 2006Journal de Téhéran
Mardi 23 Juin 1936,
2 Tir 1315
Monsieur Saïd Naficy, ancien collaborateur du Journal de Téhéran a bien voulu nous expédier en texte français la traduction d’un article se rapportant au grand orientaliste et diplomate allemand Friedrich Rosen.
Nous reproduisons intégralement et textuellement cet article ainsi que son introduction, tels que rédigés et envoyés par l’auteur lui-même en laissant à nos lecteurs le soin de relever toute la finesse de conception et de style qui nous font (...)
Les œuvres de Ali Hâtami sont toujours tentantes à voir. Pour notre génération dont l’enfance et l’adolescence ont été imprégnées des films tels que " Hézâr Dastân " (le rossignol), "Kamâl-ol-molk" et "Délchodégân " (les épris), cette tentation est beaucoup plus forte, et ne se limite pas seulement à voir le film. L’image qui existe dans notre mémoire des époques Pahlavi et Qadjar est celle que Hâtami nous a laissée, on compare même les photos de l’ancien Téhéran avec le Téhéran de Hâtami, ce qui arrive rarement (...)
Fereydoun Mochiri
Traduit par
Croyez au printemps,
ouvrez les fenêtres,pour que le zéphyr fête
le jour de naîssance des acacias ;
et le printemps
a allumé la bougie, sur toutes les branches et
à côté de toutes les feuilles
Toutes les hirondelles sont rentrées
et elles ont crié la fraîcheur.
la rue est remplie de chansons,
et le cerisier a fleuri, comme cadeau,
pour les acacias.
Ouvrez les fenêtres, mon ami
vous souvenez-vous
que la terre est brulée d’ une soif sauvage ?
que les feuilles se sont flétries ?
que faire de (...)
Avec la Révolution islamique d’Iran en 1979, le cinéma de l’époque monarchique s’est effondré en même temps que l’ensemble des structures politiques qui soutenaient le régime des Pahlavis. Connu sous le nom de cinéma " farsi " par les critiques, il se définissait comme cinéma de divertissement et profitait des formules et des codes utilisés dans les films indiens et égyptiens, avec pour unique objectif d’attirer un nombre croissant de spectateurs et de capitaux. Ce cinéma recourait à ce titre, à toute la (...)
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