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Nous sommes trois étudiants en persan à l’Institut national des Langues et Civilisations Orientales (INaLCO) à Paris, en dernière année de Licence et nous sommes toujours à l’affut de possibilités d’aller étudier en Iran. Celles-ci sont réduites : un institut privé à Téhéran a tardé à nous répondre derrière les lourdeurs administratives, mais c’est surtout le contexte international qui rend les échanges officiels entre les universités compliqués, voire impossibles et dont nous sommes finalement victimes en tant (...)