Bonjour,
En réponse au premier commentaire, j’explique :
1) En Iran, tout le monde écrit des poèmes un jour ou l’autre. Sans évènement politique particulier, et le quotidien suffit largement pour inspirer.
2) Il faut pour être reconnu poète que le temps passe, patine la poésie pour en révéler la vraie qualité. Je ne peux donc absolument pas m’ériger en juge pour décréter qui est poète et qui ne l’est pas. Je laisse cela aux "spécialistes". Et si des vrais poètes se sont révélés cette année, l’année d’avant ou les précédentes, c’est dans vingt ans, ou trente ans, ou deux siècles qu’on le saura. Je me suis contentée de faire un retour sur la poésie politique contemporaine de l’Iran, c’est-à-dire celle qui nous a précédée et qui a eu le temps de révéler son éclat.
Bonjour,
En réponse au premier commentaire, j’explique :
1) En Iran, tout le monde écrit des poèmes un jour ou l’autre. Sans évènement politique particulier, et le quotidien suffit largement pour inspirer.
2) Il faut pour être reconnu poète que le temps passe, patine la poésie pour en révéler la vraie qualité. Je ne peux donc absolument pas m’ériger en juge pour décréter qui est poète et qui ne l’est pas. Je laisse cela aux "spécialistes". Et si des vrais poètes se sont révélés cette année, l’année d’avant ou les précédentes, c’est dans vingt ans, ou trente ans, ou deux siècles qu’on le saura. Je me suis contentée de faire un retour sur la poésie politique contemporaine de l’Iran, c’est-à-dire celle qui nous a précédée et qui a eu le temps de révéler son éclat.
Arefeh Hedjazi