Bonjour,
Pour répondre à votre question, cet article n’est pas un article de fond sur la situation politique actuelle et passée de l’Iran, quelle qu’elle soit. Je ne vois donc pas pourquoi j’aurais du mentionner quoi que ce soit. Il se peut également que j’ai omis de citer certains poètes comme Ahmad Shamlou. Mais je peux vous certifier que ce grand poète contestataire, - qui a d’ailleurs très tôt, dans les années 50 (coup d’Etat américain en Iran),abandonné sa carrière de poète politique pour se consacrer plus spécialement à la poésie lyrique moderne -, a sa place privilégiée en Iran, - où il a vécu longtemps après la Révolution, et vous pouvez trouver ses recueils dans toutes les librairies iraniennes, officiellement, et pas sous le manteau. et la même chose est valable pour Sepanlou et beaucoup d’autres. Si j’ai omis des poètes importants, - consacrés si j’ose dire - c’était faute de place. Sinon, bien évidemment, la poésie a toujours été un moyen d’expression privilégié pour les Iraniens, et effectivement, un instrument de lutte politique, paticulièrement depuis la Révolution constitutionnelle. Elle a un rôle important parce qu’il est impossible de la censurer. Si de grands poètes se sont montrés ces dernières années, je le répète, il faudra attendre pour que la société iranienne, seule juge, leur offre la place qu’ils méritent.
Bonjour,
Pour répondre à votre question, cet article n’est pas un article de fond sur la situation politique actuelle et passée de l’Iran, quelle qu’elle soit. Je ne vois donc pas pourquoi j’aurais du mentionner quoi que ce soit. Il se peut également que j’ai omis de citer certains poètes comme Ahmad Shamlou. Mais je peux vous certifier que ce grand poète contestataire, - qui a d’ailleurs très tôt, dans les années 50 (coup d’Etat américain en Iran),abandonné sa carrière de poète politique pour se consacrer plus spécialement à la poésie lyrique moderne -, a sa place privilégiée en Iran, - où il a vécu longtemps après la Révolution, et vous pouvez trouver ses recueils dans toutes les librairies iraniennes, officiellement, et pas sous le manteau. et la même chose est valable pour Sepanlou et beaucoup d’autres. Si j’ai omis des poètes importants, - consacrés si j’ose dire - c’était faute de place. Sinon, bien évidemment, la poésie a toujours été un moyen d’expression privilégié pour les Iraniens, et effectivement, un instrument de lutte politique, paticulièrement depuis la Révolution constitutionnelle. Elle a un rôle important parce qu’il est impossible de la censurer. Si de grands poètes se sont montrés ces dernières années, je le répète, il faudra attendre pour que la société iranienne, seule juge, leur offre la place qu’ils méritent.