Merci de rectifier 2 erreurs de traduction dans...
Les ressacs de la nuit
Suis-je capable de boire les ressacs de la nuit
Sans penser au pointillé de l’encre
Dans les orbes du vide…
Liaisons absentes, auriges déchaînés
Que nulle fascination
Ne les fait succomber ? > "les" est contenu dans "Que" du vers précédent. Ce vers devient donc "Ne fait succomber"
L’écorce
J’habite trop profondément l’écorce de ma peau
Et mensonge mon idole
Qui prétend scander l’infini
Et retentir l’écho…
Apostat de la voix
L’idolâtrie de mes pelures ne me fascine plus
Et mon audace n’a plus la pesanteur du sel.
Je sais ! Je sais que
L’infini ne pâture pas la rancune > le verbe "pâturer" n’existe pas ; c’est "paître", dont la 3e personne est "il paît"
Merci de rectifier 2 erreurs de traduction dans...
Les ressacs de la nuit
Suis-je capable de boire les ressacs de la nuit
Sans penser au pointillé de l’encre
Dans les orbes du vide…
Liaisons absentes, auriges déchaînés
Que nulle fascination
Ne les fait succomber ? > "les" est contenu dans "Que" du vers précédent. Ce vers devient donc "Ne fait succomber"
L’écorce
J’habite trop profondément l’écorce de ma peau
Et mensonge mon idole
Qui prétend scander l’infini
Et retentir l’écho…
Apostat de la voix
L’idolâtrie de mes pelures ne me fascine plus
Et mon audace n’a plus la pesanteur du sel.
Je sais ! Je sais que
L’infini ne pâture pas la rancune > le verbe "pâturer" n’existe pas ; c’est "paître", dont la 3e personne est "il paît"