J’habite trop profondément l’écorce de ma peau
Et mensonge mon idole
Qui prétend scander l’infini
Et retentir l’écho…
Apostat de la voix
L’idolâtrie de mes pelures ne me fascine plus
Et mon audace n’a plus la pesanteur du sel.
Je sais ! Je sais que
L’infini ne pâture pas la rancune
Mais supporte-t-il que je le renie
Un instant infini
Où je serai son pâtre ?
Supporte-t-il que je le quitte
Pour voir où finit dans l’oubli,
L’étoile filante du vide ?
L’infini n’a d’existence humaine
Que dans la passion du vide…
La contradiction.
Mon œil n’a plus le goût de sa mort,
Avide d’achromie libertine,
Je répudie la fécondité.
les correctifs semblent logiques mais j’ai vérifié sur le site originel et il est bien ecrit l’infini ne pature .....
verifiez vous meme :
Les commentaires des membres
http://francais.agonia.net/index.php/poetry/13938127/L%60ecorce
L\’écorce
poèmes [ ]
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par monsif ouadai saleh [metanoia ]
2010-04-23 | |
L’écorce
J’habite trop profondément l’écorce de ma peau
Et mensonge mon idole
Qui prétend scander l’infini
Et retentir l’écho…
Apostat de la voix
L’idolâtrie de mes pelures ne me fascine plus
Et mon audace n’a plus la pesanteur du sel.
Je sais ! Je sais que
L’infini ne pâture pas la rancune
Mais supporte-t-il que je le renie
Un instant infini
Où je serai son pâtre ?
Supporte-t-il que je le quitte
Pour voir où finit dans l’oubli,
L’étoile filante du vide ?
L’infini n’a d’existence humaine
Que dans la passion du vide…
La contradiction.
Mon œil n’a plus le goût de sa mort,
Avide d’achromie libertine,
Je répudie la fécondité.