Le roman en français des écrivaines iraniennes : l’exemple du Cimetière de verre de Sorour Kasmaï
29 avril 2015, 07:56, par Nadine Guilhou
Je suis tombée par hasard sur cette excellente analyse du roman de Sorour Kasmaï, que j’ai lu dans le cadre de la préparation d’un voyage en Iran. J’ai beaucoup aimé ce roman et je partage tout à fait l’analyse qui en a été faite. Je connaissais déjà d’autres écrivains iraniens femmes, en particulier Zôya Pirzâd, qe j’aime beaucoup (et que j’ai lue en traduction, ne connaissant pas le farsi), mais qui pratique, en effet, le genre de la nouvelle. J’ai fait des études de Lettres, d’Histoire de l’art et archéologie, et je suis égyptologue.
Je suis tombée par hasard sur cette excellente analyse du roman de Sorour Kasmaï, que j’ai lu dans le cadre de la préparation d’un voyage en Iran. J’ai beaucoup aimé ce roman et je partage tout à fait l’analyse qui en a été faite. Je connaissais déjà d’autres écrivains iraniens femmes, en particulier Zôya Pirzâd, qe j’aime beaucoup (et que j’ai lue en traduction, ne connaissant pas le farsi), mais qui pratique, en effet, le genre de la nouvelle. J’ai fait des études de Lettres, d’Histoire de l’art et archéologie, et je suis égyptologue.