Les deux horizons de l’absurde Akhavân versus Camus
22 octobre 2014, 07:03, par villette@club-internet.fr jfr
La relève de la pierre camusienne ne peut être vu que dans l absurde. L absurde ne serait selon camus que l obligation de faire face aux obligations de la survie corporelle, parfois sociale et relationnelle. Le temps regulė par ce temps de survie peut libérer le temps de la réflexion, de l élévation de l’esprit jusqu’à l’élévation du cœur. Il met en recul notre vision de notre vie, de la vie et force l imaginaire jusqu’au rassemblement de toutes ces petites prė idėes de notre pré conscience chaotique qui nous reste à construire comme un devenir de soi. La certitude ne représenté que des préjugés utiles à la vie présente. Le flou inéluctable de nos pensées, se doit de se libérer de l obligation de la survie. Ainsi, la recherche et la construction peut avancer à la découverte du mot cachė sous la pierre. Ces mots de notre inconscient, de notre flou de pensée, invite à la conscience de notre être profond mais aussi de ce qui nous dépasse si loin qu’il est de l’ordre de l infini. Et si le philosophe désire aller plus loin, il peut comprendre que cet infini n’est que s’il est un tout harmonieux.
La relève de la pierre camusienne ne peut être vu que dans l absurde. L absurde ne serait selon camus que l obligation de faire face aux obligations de la survie corporelle, parfois sociale et relationnelle. Le temps regulė par ce temps de survie peut libérer le temps de la réflexion, de l élévation de l’esprit jusqu’à l’élévation du cœur. Il met en recul notre vision de notre vie, de la vie et force l imaginaire jusqu’au rassemblement de toutes ces petites prė idėes de notre pré conscience chaotique qui nous reste à construire comme un devenir de soi. La certitude ne représenté que des préjugés utiles à la vie présente. Le flou inéluctable de nos pensées, se doit de se libérer de l obligation de la survie. Ainsi, la recherche et la construction peut avancer à la découverte du mot cachė sous la pierre. Ces mots de notre inconscient, de notre flou de pensée, invite à la conscience de notre être profond mais aussi de ce qui nous dépasse si loin qu’il est de l’ordre de l infini. Et si le philosophe désire aller plus loin, il peut comprendre que cet infini n’est que s’il est un tout harmonieux.