Art brut et la création hors normes des malades mentaux
25 décembre 2019, 21:45, par remi.deroure553@gmail.com
Les imaginations liées au métier technicien demeureront toujours invisibles et impondérables.Il en va ainsi des yeux avertis qui ne prennent pas les oeuvres pour des vessies ou des lanternes.Ce qui se remarque à la lumière solaire c’est tout autre chose que ce qui se prèsente sous les projecteurs des galeries.Le temps d’un aperçu qui dure quelques minutes montre souvent un brillant qui n’enrichit en rien la qualité du final.Celui de l’élaboration aura murit trop vite comme un fruit passablement sucré.Il aura fallu en passer par là ,rien de particulier en cela à dissimuler du trajet élaborant débutant de l’artiste. On n’advient pas en sculpture pour faire carrière mais pas toujours.Les carriers savent ce qu’il en est de leur front de taille rocheux comme les sculpteurs qui durent avec leurs machines devant les saisons et les poussières contigentes.Eternels retours des désirs contenus par les pulsions de vie l’art statuaire ressemble bien à un rhizome infini dont le temps limité du travail se pose comme une oblitération ayant valeur pour l’acteur de l’oeuvre et que pour lui.Après une esthétique est livrée aux regards qui ont à en dire ce je sais quoi qu’ils doivent savoir.Sans cela nul doute que l’artifice sera qu’une brutale lueur pour des intellections tarie ou peu sensée concernant souvent qu’une valeur pécunière, frustration généralisée pour des oeuvres en voyages ou posées sur des meubles.
Les imaginations liées au métier technicien demeureront toujours invisibles et impondérables.Il en va ainsi des yeux avertis qui ne prennent pas les oeuvres pour des vessies ou des lanternes.Ce qui se remarque à la lumière solaire c’est tout autre chose que ce qui se prèsente sous les projecteurs des galeries.Le temps d’un aperçu qui dure quelques minutes montre souvent un brillant qui n’enrichit en rien la qualité du final.Celui de l’élaboration aura murit trop vite comme un fruit passablement sucré.Il aura fallu en passer par là ,rien de particulier en cela à dissimuler du trajet élaborant débutant de l’artiste. On n’advient pas en sculpture pour faire carrière mais pas toujours.Les carriers savent ce qu’il en est de leur front de taille rocheux comme les sculpteurs qui durent avec leurs machines devant les saisons et les poussières contigentes.Eternels retours des désirs contenus par les pulsions de vie l’art statuaire ressemble bien à un rhizome infini dont le temps limité du travail se pose comme une oblitération ayant valeur pour l’acteur de l’oeuvre et que pour lui.Après une esthétique est livrée aux regards qui ont à en dire ce je sais quoi qu’ils doivent savoir.Sans cela nul doute que l’artifice sera qu’une brutale lueur pour des intellections tarie ou peu sensée concernant souvent qu’une valeur pécunière, frustration généralisée pour des oeuvres en voyages ou posées sur des meubles.