N° 173, automne 2020

Le symbole du dieu-soleil chez les Iraniens assyriens


Saeid Khânâbâdi


Au VIIème siècle avant notre ère, le royaume mède fut menacé par les attaques des rois d’Assyrie. Les Mèdes firent donc alliance avec les Babyloniens et, en août 612 av. J.-C, conquirent Ninive, la capitale des Assyriens. Cette grande conquête de Cyaxare, le roi mède, n’était pas seulement un exploit militaire pour les Aryens. Cette conquête a également permis l’intégration d’éléments culturels et artistiques de la civilisation assyrienne dans l’art et la culture des habitants du plateau iranien. Après l’arrivée au pouvoir des Achéménides, l’Empire perse devint une plateforme d’influences réciproques entre les civilisations mésopotamienne et perse. Les Assyriens, qui étaient déjà installés dans la Mède Atropatène (Azerbaïdjan actuel), continuaient à contribuer à la culture perse. Certains éléments architecturaux des palais de Persépolis et de Suse révèlent bien la présence des symboles assyriens. Même le célèbre thème de Fravahar ressemble beaucoup aux figurations du dieu Achour (Assur) dans les bas-reliefs assyriens comme par exemple ceux de Sargon II. Pourtant dès le début, la relation Assyrie-Perse prit la forme d’une interaction culturelle réciproque. Même aujourd’hui, les églises assyriennes présentent des éléments architecturaux issus des palais achéménides. Par exemple, les murs crénelés de la cathédrale Saint-Joseph de Téhéran sont une copie exacte des créneaux et des merlons décoratifs dans les escaliers royaux de Persépolis.

Le Shamash ou le dieu-soleil est l’un des symboles sur les bas-reliefs assyriens

Les Iraniens assyriens

L’installation des Assyriens dans le nord-ouest de l’Iran a débuté au XIème siècle avant notre ère, sur ordre des rois assyriens qui ont déplacé plus de 200 000 Assyriens de la Mésopotamie du nord vers les environs du lac d’Ourmia. Après l’effondrement de l’empire d’Assyrie, les Assyriens installés en Iran jouèrent le rôle de relais entre l’héritage de la civilisation mésopotamienne et la civilisation aryenne. Ces Assyriens ont continué à jouer ce rôle même après leur conversion massive au christianisme. Les Iraniens, assyriens eux aussi, dans leurs coutumes, leurs rites, leurs croyances, et surtout dans leur langue, révèlent explicitement les traces de la civilisation antique d’Assyrie. Mais parallèlement, ils ont aussi adopté des conduites culturelles qui les assimilent aux peuples aryens, comme par exemple la célébration de Norouz. Les Assyriens célèbrent Kha b’Nisan qui, initialement, correspondait à Norouz à l’équinoxe de printemps. [1] Ils célèbrent aussi d’autres fêtes iraniennes comme la fête de l’Eau (élément sacré chez les Zoroastriens) et la fête de Tammouz pendant l’été. Dans cet article, nous étudierons le symbole de Shamash ou dieu-soleil, l’un des éléments assyriens les plus importants et ayant des expressions similaires dans le panthéon iranien.

Plaine de Ninive (foyer des Assyriens)

Depuis les années 1970, l’Alliance Universelle des Assyriens (AUA) a choisi un drapeau qui recèle clairement des éléments en rapport avec l’identité ethnique et l’origine historique des Assyriens. Avant d’en aborder les détails, il nous faut expliquer qu’aujourd’hui, les Assyriens natifs d’Iran ont une place très importante dans la communauté mondiale des Assyriens. Plusieurs facteurs révèlent ce rôle primordial des Iraniens assyriens au sein de la communauté internationale des Assyriens : leur drapeau a été conçu par un Iranien ; ou encore leur hymne national (Roomarama) est récité par Yosip bet Yosip, un poète assyrien né en Iran dans le village de Zoomalan d’Ourmia. Depuis 2007, le Secrétaire général de l’Alliance assyrienne universelle (AUA) est Yonathan Betkolia, un Iranien natif d’Ourmia, qui fut également membre du parlement iranien. Le siège de cette grande institution assyrienne, autrefois basée à Chicago, se trouve actuellement à Téhéran. En outre, l’Iran fut, dans l’histoire, le seul pays de la région où les Assyriens chrétiens ont toujours exercé leur religion librement et sans être réprimés. À vrai dire, pendant leur histoire, les Assyriens ont subi plusieurs actes génocidaires et gestes discriminatoires en Irak, Syrie, au sud-ouest de la Turquie et dans le Caucase. Dès lors, ils ont trouvé en Iran une terre d’accueil et s’y sont intégrés. La liberté dans l’exercice des rites religieux et l’égalité dans le statut social des Assyriens sont confirmées par la Constitution iranienne. Cela a été attesté par des chefs politiques et confessionnels de cette minorité religieuse lors de leur rencontre avec les envoyés de l’ONU et d’autres institutions internationales. Les Assyriens bénéficient même d’un siège réservé au parlement iranien, selon l’article 64 de la Constitution de la République islamique d’Iran. Cette hospitalité iranienne ne s’adresse pas uniquement aux Assyriens. En réalité, l’Iran peut être considéré comme le pays le plus accueillant à l’égard des chrétiens d’Orient. À noter que les Assyriens en Iran sont issus de plusieurs confessions, mais la majorité d’entre eux sont nestoriens. [2] La branche nestorienne dans le christianisme, fondée par Nestorius dont l’origine familiale est perse, se distingue par une doctrine religieuse inspirée du concept aryen et zoroastrien de la dualité.

Le symbole assyrien de Shamash sur leur drapeau d’aujourd’hui

Quant aux Assyriens résidents en France, il faut souligner que la plupart d’entre eux sont originaires des villages des régions montagneuses du sud-est de la Turquie actuelle, à proximité des frontières irakienne et iranienne. [3] Ils furent contraints d’abandonner leurs villages natals suite aux répressions des autorités ottomanes entre 1914 et 1920. À l’époque, les autorités turques créèrent un climat d’insécurité pour les Assyriens qui vivaient en Azerbaïdjan iranien. Pendant la Première Guerre mondiale, ces minorités chrétiennes furent opprimées par le régime turc, et un nombre conséquent fut contraint de se réfugier en Iran ou en Europe. Les Assyriens du Caucase souffrirent aussi de l’interdiction de l’exercice des rites religieux à l’époque de l’Union soviétique. En outre, à cette époque, il leur était interdit d’utiliser leur langue et leur écriture ethniques. En Irak, bien qu’ils y soient beaucoup plus nombreux qu’en Iran, à partir des années 1930, ils furent privés de certains de leurs droits, et en particulier lors de la présidence de Saddam Hussein (1979-2003). Plus récemment, entre 2014 et 2107 aussi, la plaine de Ninive (foyer des Assyriens) fut occupée par Daesh et des milliers d’habitants chrétiens de cette province irakienne durent fuir vers les pays voisins de peur d’être tués ou réduits en esclavage par les terroristes soutenus par l’Arabie Saoudite. En Syrie, les Assyriens formaient une grande communauté avant l’insurrection armée des forces salafistes contre le gouvernement légal de Bachar al-Assad en 2011. Mais après les crimes des terroristes wahhabites, ils quittèrent largement le territoire syrien. Ces menaces subies par les Assyriens dans les autres pays de la région justifient la raison de leur étroit attachement à la terre iranienne qui leur a toujours accordé des libertés dans les domaines religieux et socio-politiques.

Le roi Melishipak I (1186-1172 avant notre ère) présente sa fille à Shamash, le soleil, représenté à droite, à côté de Nanna et Ishtar

Ces évènements permettent de mieux comprendre pourquoi aujourd’hui, le siège principal de l’Alliance Universelle des Assyriens (AUA), qui est la plus importante institution internationale des Assyriens, a été transféré de Chicago à Téhéran. Après avoir vécu plus de 3000 ans en Iran, les Assyriens constituent aujourd’hui une partie indéniable de la civilisation iranienne.

Le symbole assyrien de Shamash

Comme nous l’avons déjà mentionné, chez les Assyriens se trouvent certains symboles qui fonctionnent en tant que relais entre la civilisation mésopotamienne de l’Assyrie antique et la civilisation perse. Le Shamash ou le dieu-soleil est l’un de ces symboles. Sur les bas-reliefs assyriens conservés dans les grands musées du monde ainsi que sur leur drapeau d’aujourd’hui et sur l’emblème de presque tous leurs partis politiques et mouvements (en Irak et en Syrie), on peut facilement distinguer le symbole de Shamash. Ce symbole est devenu une sorte d’élément identitaire pour les Assyriens même au sein des médias occidentaux. Nous nous référons par exemple à un rapport du Figaro publié en novembre 2016 à propos d’un groupe armé assyrien engagé dans le combat contre les terroristes de Daesh. Pour son auteur Thierry Oberlé, le symbole de Shamash était la première caractéristique à mentionner dans la présentation de ces unités assyriennes : « Des combattants de la milice chrétienne des Unités de protection de la plaine de la Ninive (NPU) portent sur le haut du bras droit un écusson en forme d’étoile bleue à quatre branches avec au centre un cercle d’or représentant le dieu soleil assyrien Shamash. » [4]

Le Shamash ou le dieu-soleil est l’un des symboles sur les bas-reliefs assyriens

Shamash dans le drapeau assyrien

À la suite de la fondation de l’Alliance Universelle des Assyriens (Khoyada) en 1968, cette organisation a fait appel aux artistes assyriens du monde entier pour concevoir un drapeau international. [5] L’Alliance a finalement choisi le projet de George Bit Atanus, un Iranien assyrien, qui reflétait le mieux l’identité assyrienne du passé et du présent. En 1974, son projet a été approuvé par le 6e congrès de l’AUA, réuni aux États-Unis dans la ville de New York.

Le drapeau assyrien est conçu avec un fond blanc sur lequel trois bandes ondulantes (bleue, blanche et rouge) émergent de chaque coin d’un dessin central qui a la forme d’une étoile à quatre branches. Les trois bandes ondulantes représentent les fleuves du Tigre, de l’Euphrate et du Grand Zab. À noter qu’une partie du fleuve Zab (dit le Petit Zab) passe actuellement par le territoire iranien. En haut du drapeau, une image du dieu Assour (qui ressemble au Fravahar aryen) domine le dessin. Au centre du drapeau, l’étoile à quatre têtes englobe un cercle doré représentant Shamash, le dieu-soleil assyrien.

Shamash dans les civilisations de l’Asie de l’Ouest

Dans le panthéon mésopotamien, Shamash était le dieu-soleil et le fils de Sin, le dieu de la lune. En général, chez les Sémites et contrairement aux Aryens, la lune avait une place plus centrale et prééminente que le soleil, jusqu’à devenir la base de leur calendrier annuel. Pourtant, au fur et à mesure que l’agriculture se développa, le dieu-soleil joua un rôle de plus en plus important chez les peuples mésopotamiens. Shamash était le frère de la déesse Ishtar, qui représentait la grande étoile de Vénus. La déesse mésopotamienne Ishtar peut être comparée à la déesse Anahita chez les peuples aryens. Aujourd’hui, les Assyriens en Irak ont même une chaîne de télévision qui s’appelle Ishtar TV. Dans la mythologie mésopotamienne, Sin, Shamash et Ishtar formaient une trinité divine. Les trois pouvoirs de Sin, Shamash et Ishtar (qui prenaient parfois d’autres noms chez divers peuples mésopotamiens) symbolisaient trois grandes forces de la nature : le soleil, la lune et l’étoile Venus. Nous constatons que le thème de la trinité trouve encore des nouvelles expressions dans les religions ultérieures des Araméens.

Chez les Assyriens, Shamash, en tant que divinité solaire, exerçait le pouvoir de la lumière du Bien sur les ténèbres du Mal. Dans l’épopée babylonienne de Gilgamesh, c’est avec la bénédiction et le soutien de Shamash que Gilgamesh entre dans le royaume des ténèbres et vainc son monstre-gardien. Shamash était également connu comme le dieu de la justice et le juge des dieux et des hommes. Le roi babylonien Hammourabi prétendait que son code de lois (daté d’environ 1750 av. J.-C.) lui avait été confié par Shamash. Le dieu-soleil était aussi le gouverneur de tout l’univers et alors représenté assis sur un trône, tenant dans sa main les symboles de la justice et de la droiture, un bâton et un cercle. Le cercle que Shamash tient dans sa main ressemble à celui qui est dans celle d’Ahourâ Mazdâ dans les bas-reliefs sassanides. En outre, Shamash est souvent représenté avec un disque qui symbolise le soleil. [6]

Icône du dieu mésopotamien Shamash dans un relief assyrien au palais de Nimrud (865-865 avant JC)

Dans la tradition cananéenne, Shamash était aussi la déesse du soleil. Son culte était également pratiqué parmi les Israélites, bien qu’il ait été interdit par les prophètes bibliques. À noter que les Israelites, lors de leur séjour en Égypte, étaient déjà familiers des rites concernant l’adoration du dieu-soleil Ra dans la vallée du Nil. À Canaan, Shamash (ou Shemesh d’après sa prononciation hébraïque) était une divinité féminine et connue sous le nom de « Torche des dieux ». Son temple principal se trouvait près de Beit Shemesh. Même aujourd’hui, la ville de Beit Shemesh, située à 30 kilomètres de Jérusalem, porte le nom de ce dieu antique des Assyriens. Pour ses fidèles, Shamash était souverain sur la nature et sur l’humanité, tout comme Yahvé, la divinité du judaïsme. Dans la Bible hébraïque, le psaume 19 loue le soleil dans un langage qui n’est pas différent de celui des hymnes babyloniens honorant Shamash. Dans la tradition juive aussi, la menorah de Hanoukka a une lumière supplémentaire, appelée Shamash, qui allume les huit autres lumières. Le roi Ézéchias et les autres rois de Judée utilisaient des sceaux royaux avec des images similaires à la représentation assyrienne de Shamash. Le nom du héros juif Samson (célèbre pour la légende amoureuse de Samson et Dalila) est basé sur le mot Shamash, et la tradition rabbinique compare sa force à la puissance du soleil. Ces différents éléments attestent encore une fois du fort ancrage mésopotamien de la religion juive. En effet, Shamash était aussi inspirant pour les autres peuples sémites. Chez les Arabes, le mot Shamash est devenu Shams. Dans la généalogie du prophète de l’Islam, on peut constater que l’un des frères de Hashem (le grand grand-père de Mohammad) s’appelait Abd-ol-Shams qui veut dire « Adorateur du soleil ». Dans la tribu Ghoraysh, Abd-ol-Shams a donné naissance à la branche omeyyade qui, après la mort du Prophète, fondera une hérésie dans la religion de l’islam. Le terme de shams est mentionné à plusieurs reprises dans le texte coranique, tandis qu’une sourate est même intitulée Al-Shams. Le Coran raconte aussi l’histoire d’anciens peuples païens qui adoraient le soleil dans l’histoire d’Abraham, discutant avec ces adorateurs du soleil et faisant semblant d’adorer le soleil pour une courte durée en vue de les convaincre sur la fausseté de leurs idées. Historiquement parlé, le prophète Abraham était originaire de la région d’Ur au sud de la Mésopotamie. Shamash est donc très présent dans le panthéon sémitique, et son culte est bien répandu dans la région. Selon Corinne Bonnet, professeure d’histoire à l’université de Toulouse : « Dans le monde sémitique, la figure du dieu solaire revêt divers aspects qui en font une divinité d’importance. D’Arabie en Syrie du Nord, en passant par la Palmyrène, le Hauran, la Palestine et la Phénicie, innombrables sont les témoignages de cultes solaires impliquant soit Shamash-Hélios, soit d’autres divinités ayant acquis des connotations solaires, tels Hadad, Baal Shamim ou leur correspondant classique Zeus/Jupiter. » [7]

Le dieu-soleil dans la mythologie iranienne

Nous constatons donc que le culte du Shamash assyrien, même après l’effondrement de l’empire d’Assyrie, s’est répandu dans les pays de la région. Mais dans le cas de la mythologie iranienne, on ne peut pas parler d’une transmission de l’image de Shamash. Le Soleil était déjà respecté comme une divinité par les tribus aryennes même avant leur migration vers le plateau iranien. Pourtant, Mithra joue le rôle du dieu-soleil dans le panthéon iranien. Il existe certaines ressemblances entre les deux figures divines de Shamash et Mithra. Les deux sont des divinités solaires, symbolisant la lumière, montant sur un char et portant une couronne ornée des rayons du soleil. Le cercle dans la main de Shamash peut être identifié dans les bas-reliefs de Mithra aussi. Aujourd’hui, l’église principale des Assyriens en Orient est l’église Mart Maryam d’Ourmia qui était initialement un mithraeum avant d’être transformé en lieu de culte chrétien. Certes, Mithra ne peut pas être considéré comme un élément dérivé du Shamash étant donné que, comme nous venons de le souligner, l’histoire de ce dieu aryen est aussi ancienne que celle du dieu-soleil mésopotamien. Même avant la prophétie de Zoroastre, les Aryens considéraient le soleil comme un élément divin sans pour autant l’adorer en tant qu’un dieu. Dans la religion mazdéenne, le soleil est défini comme une créature du Dieu Ahourâ Mazdâ. Pourtant, il est catégorisé dans l’Avesta comme un Izad (demi-dieu) qui a la mission de purifier l’homme et la nature. D’après les versets avestiques, c’est le soleil qui distribue la bénédiction (farr) d’Ahourâ Mazdâ parmi les créatures. Le sixième Yasht de l’Avesta est nommé Khorshid Yasht (Admiration du Soleil). Les zoroastriens mettaient leurs morts sur les montagnes en plein soleil pour qu’ils soient purifiés. La prière du soleil est une des prières journalières des disciples de Zoroastre. Notons aussi que le calendrier des Perses est basé sur le soleil, contrairement aux Mésopotamiens dont le calendrier se référait aux mouvements de la Lune - bien que dans le calendrier lunaire aussi, le mois Tammuz se réfère au dieu mythologique du soleil. Les Iraniens assyriens célèbrent encore la fête de Tammouz pendant l’été. Le mois de Tammouz s’étend sur juin et juillet du calendrier grégorien. Cette fête assyrienne s’enracine dans l’ancienne fête iranienne de Chelleh Tammouz célébrée, autrefois, durant la journée la plus longue de l’année, quand le soleil était le plus longtemps présent dans le ciel.

En résumé, le dieu-soleil Shamash est devenu durant les siècles un relais et un point d’échange entre la civilisation mésopotamienne et la civilisation iranienne. L’existence de ces thèmes similaires dans la culture perse et la culture mésopotamienne atteste bien l’idée que les grands empires aryens de l’antiquité ont pu créer un creuset d’une forme de melting-pot, en vue de respecter les cultures locales des territoires conquis et d’enrichir la civilisation iranienne.

Notes

[1Ershadi Babak, « Les Assyriens d’Iran », Revue de Téhéran, Numéro 104, juillet

[2Zia Djamileh, « Les Assyriens et les Chaldéens d’Iran », Revue de Téhéran, Numéro 38, janvier 2009

[3Site de la Fédération assyrienne de France, https://www.federationassyrienne.com/

[4Oberlé Thierry, « Ces milices chrétiennes qui libèrent leurs villages », Figaro, le 2 novembre 2016, https://www.lefigaro.fr/international/2016/11/02/01003-20161102ARTFIG00232-ces-milices-chretiennes-qui-liberent-leurs-villages.php

[5Site de l’Union Universelle des Assyriens (AUA), http://aua.net/

[6Mark Joshua J., “Utu-Shamash”, Encyclopedia Ancient History, www.ancient.eu/Utu-Shamash/

[7Bonnet Corinne, « Le dieu solaire Shamash dans le monde Phénico-Punique », SEL : Studi Epigrafici e Linguistici sul Vicino Oriente antico, CSIC - Centro de Ciencias Humanas y Sociales (CCHS), http://www.sel.cchs.csic.es/sites/default/files/11bonnet_c91add2b.pdf


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