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La littérature de guerre en Iran possède plusieurs appellations telles que la littérature de la résistance, la littérature de la défense sacrée ou la littérature de la fermeté. Chacune de ces appellations peut être liée à la source de l’inspiration que la guerre engendre. Chaque catégorie possède ses propres critères et particularités selon son appellation. Mais laquelle de ces catégories peut regrouper l’ensemble de la littérature de guerre ? Le titre que nous donnons à cette littérature pourrait-il (...)
Cet article s’intéresse à la question essentielle du choix du texte par le traducteur, pour évoquer ensuite la pratique de la retraduction qui occupe une place relativement importante en Europe aujourd’hui. Ce phénomène représente un intérêt considérable pour la culture et la langue. Concernant l’importance du choix du texte à traduire, nous nous référons à l’expérience de Christophe Balaÿ, traducteur du persan au français. Le choix du texte à traduire
Lorsque Christophe Balaÿ, traducteur et professeur de (...)
La théorie de la traduction
Lorsque l’on réfléchit sur la théorie de la traduction littéraire, il est essentiellement question des différentes aires culturelles et de leur impact sur le travail du traducteur. Non pas près de lui simplifier la tâche, elles l’obligent au contraire à diversifier ses domaines de connaissances ; diversification qui exigera la maîtrise et la compréhension des différentes cultures propres aux auteurs à traduire. Le traducteur littéraire se verra en quelque sorte endosser, en (...)
Dans la plupart des cultures du monde, le thé est considéré comme une boisson ayant des vertus médicinales et curatives nombreuses, notamment concernant certains cancers. Il existe de nombreuses légendes concernant l’apparition de l’utilisation du thé comme boisson. Par exemple, les Chinois racontent qu’il y a 5000 ans, le vent avait amené quelques feuilles de thé dans la tasse d’eau chaude de l’empereur de Chine, et cet événement fut à l’origine de la consommation du thé en tant que boisson. Environ (...)
Le Sétâr (Sitâr) est de la famille du tambour préislamique.
La caisse de résonnance du sétar est faite de bois de mûrier. Il pèse vingt-cinq ou vingt-six gammes. L’étymologie du mot sétar en persan nous apprend qu’il a trois cordes :
Sé - TÂR = trois - cordes.
Mais on y a ajouté une quatrième corde ultérieurement.
Cette modification dans la structure du sétâr a été faite par Moshtâgh Ali Shâh, célèbre joueur de cet instrument au XVIIIème siècle. Cette corde qui s’appelle " pré-joué " est accordée par rapport (...)