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À l’image de Rome, les ouvrages de Claude Brunier-Coulin n’ont pas été édifiés en un jour, ce qui explique peut-être la rareté de ses publications. C’est que la matière de ses recherches ne porte pas sur la discussion d’une thèse théologique, mais sur « le fait théologique lui-même » (p. 25), ainsi qu’il l’explique dans son court-liminaire, et plus particulièrement – dans le cas présent – sur la célèbre formule de Luther, « simul justus et peccator », mise en lien avec la catégorie de l’imaginal, héritée de la (...)