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Traduit par :
Nikou Ghâssemi
Ebrâhim Salimi Kouchi
Ebrâhim Salimi Kouchi
Le soleil brûlant du sud avait réchauffé la terre. A perte de vue, il y avait le désert. Ni village, ni arbre, ni verdure.
Une vapeur chaude s’élevait de la terre. La chaleur du soleil étouffait l’homme. Djâber jeta un coup d’œil au ciel. La lumière du soleil brûla ses yeux irrités par la sueur qui s’y glissait. Il baissa la tête.
Frottant ses yeux de ses doigts noirs et calleux, il cria une nouvelle fois à son âne avec fureur et indignation :
Bon sang ! C’est encore le matin, (...)