Cher Ivanov, votre question est si vaste et prismatique que les réponses se heurtent en reflets et lueurs plus qu’en évidence et lumière. Ce qui prouve d’ailleurs l’impossibilité d’une réponse qui se fonde sur la plénitude de l’incarnation ou de la transparence. L’opacité culmine en paradoxaux pour donner à la poésie son absolu de la voix partiellement Raison et de la passion : son absolu de la duplicité... je tiens à vous remercier pour votre lecture et votre question lumineuses. Bien cordialement.
Cher Ivanov, votre question est si vaste et prismatique que les réponses se heurtent en reflets et lueurs plus qu’en évidence et lumière. Ce qui prouve d’ailleurs l’impossibilité d’une réponse qui se fonde sur la plénitude de l’incarnation ou de la transparence. L’opacité culmine en paradoxaux pour donner à la poésie son absolu de la voix partiellement Raison et de la passion : son absolu de la duplicité... je tiens à vous remercier pour votre lecture et votre question lumineuses. Bien cordialement.
Monsif