L’Iran sentimental des romantiques : Hugo, Lamartine
7 novembre 2015, 10:44
L’horloge
Mes yeux ont la couleur des jeune pluies
Depuis que l’espoir s’est perdu une nuit.
En ivrogne, je bois mes larmes sanglantes
En borgne, j’erre dans les déserts de l’existence.
Dans la transparence d’une lumière aveuglante
Ils se sont noyés dans la conscience d’un œuf solitaire.
Mais pourquoi tant de misère, dans les cœurs et sur la terre ?
J’offrirai bien mes yeux aux étoiles,
Pour un peu de réalité,
Car derrière son voile, se cache une vérité
Que le monde subit depuis toute éternité.
Et ceux qui ont vu ton vrai visage
Ne reviennent jamais de leur voyage.
Alors pourquoi tant d’interrogation
Quand, même, l’imagination,
Ne répond pas à nos questions.
L’horloge
Mes yeux ont la couleur des jeune pluies
Depuis que l’espoir s’est perdu une nuit.
En ivrogne, je bois mes larmes sanglantes
En borgne, j’erre dans les déserts de l’existence.
Dans la transparence d’une lumière aveuglante
Ils se sont noyés dans la conscience d’un œuf solitaire.
Mais pourquoi tant de misère, dans les cœurs et sur la terre ?
J’offrirai bien mes yeux aux étoiles,
Pour un peu de réalité,
Car derrière son voile, se cache une vérité
Que le monde subit depuis toute éternité.
Et ceux qui ont vu ton vrai visage
Ne reviennent jamais de leur voyage.
Alors pourquoi tant d’interrogation
Quand, même, l’imagination,
Ne répond pas à nos questions.