Tzvetan Todorov à la Maison des Artistes : de la nécessité d’une réforme de l’enseignement des lettres aux dangers d’une mauvaise utilisation de la mémoire
13 octobre 2014, 20:52, par Jeanne Allix
Pour tout adepte de la littérature, on ne peut qu’adhérer sans condition à l’analyse synthétique de Tzvetan Todorov y compris sur sa dénonciation légitime de l’appropriation outrancière de l’histoire récente par un groupe communautaire "sûr de lui et dominateur", comme le regrettait déjà le général de Gaulle, dans un but des plus alarmant et totalitaire. Il apparaît effectivement que pour une minorité agissante, l’histoire soit monnayable et falsifiable à travers une littérature historiquement et rationnellement douteuse mais trop largement relayée par des médias sous domination communautaire. Ces mêmes médias qui, pour des raisons aussi suspectes, diabolisent l’Iran, avec comme chef de file un filousophe va t-en guerre bien connu pour sa participation à la destruction de la Libye.
Pour tout adepte de la littérature, on ne peut qu’adhérer sans condition à l’analyse synthétique de Tzvetan Todorov y compris sur sa dénonciation légitime de l’appropriation outrancière de l’histoire récente par un groupe communautaire "sûr de lui et dominateur", comme le regrettait déjà le général de Gaulle, dans un but des plus alarmant et totalitaire. Il apparaît effectivement que pour une minorité agissante, l’histoire soit monnayable et falsifiable à travers une littérature historiquement et rationnellement douteuse mais trop largement relayée par des médias sous domination communautaire. Ces mêmes médias qui, pour des raisons aussi suspectes, diabolisent l’Iran, avec comme chef de file un filousophe va t-en guerre bien connu pour sa participation à la destruction de la Libye.