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CAHIER DU MOIS |
La province d’Ispahan, un foyer de la culture et de l’histoire de l’Iran (II)
La Grande mosquée d’Ispahan
Golpâyegân et son héritage architectural seldjoukide
Abyaneh,
un bijou rouge au cœur du désert
L’Écomusée du Dr Rahgoshay à Badroud :
Un outil pédagogique au service de la sauvegarde du patrimoine et de la promotion de l’identité nationale
CULTURE
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Repères
Les populations roms en Iran
Littératurre
Esthétique de la poésie lyrique de Saadi
La ville de Qom, où se trouve le mausolée de la Sainte Fatimeh-al-Massoumeh, est le sanctuaire des pèlerins du monde entier, la terre de la connaissance. Dans ce lieu repose la soeur révérende de l’Imam Reza (A.S.), descendant du Saint Prophète de l’islam.
Le dôme en or du mausolée est le principal objectif pour des pèlerins. Ces personnes au cœur brisé regagnent du courage en embrassant le zarih (la grille entourant la tombe) ; et les cœurs fatigués retrouvent la joie de vivre dans les balcons vitrés (...)
Quand je pense à toi
Je pense à l’Art, au poétique
A être au monde, à la solitude
Je pense au poème, au lyrisme
Au midi de l’été, au blanc de l’hiver
Je pense à l’attente, au narcotique
A l’automne jaune, au printemps clair
Je pense au limpide, à la musique
Au bleu du ciel, au vert de la mer
Je pense au départ, à l’exotique
Aux moments de bonheur, à l’arbre, à la fleur
Je pense à l’Amour, au (...)
Chaque personne garde des souvenirs en mémoire ; souvenirs sucrés et amers de l’enfance, qui remplissent parfois le cœur d’une petite exultation. La voix des gouttes de la pluie printanière et le moment où l’on nous retrouve après s’être perdu, se répètent toujours dans ces souvenirs.
Méditer sur l’enfance me rappelle le bleu du ciel qui prend sa source dans les regards chauds de la mère. اa me rappelle les rayons du soleil qui ressemblent aux caresses des mains moelleuses de la mère.
Je m’abrite en tout (...)
La question de l’adaptation cinématographique des textes littéraires laisse sous-entendre l’idée d’une confrontation entre deux arts de nature bien différentes : d’un côté, un art dont l’histoire s’enracine dans le plus lointain passé de notre civilisation : la littérature ; de l’autre côté, une technique récente, un art sans histoire dont certains affirment qu’il est dénué de noblesse tout en étant hautain : le cinéma.
A l’aube du 21ème siècle, le cinéma reste encore assez jeune par rapport aux autres arts, (...)
L’histoire du tapis persan, qui constitue un apogée de la magnificence artistique, est vieille de 2500 ans. Ayant atteint un degré de perfection sans pareil à travers les siècles, les artisans iraniens font partie des premiers tisserands de tapis de l’histoire. Le savoir-faire dans la fabrication du tapis s’est transmis en s’enrichissant de père en fils comme un secret de famille bien gardé. Suivre l’histoire du tapis persan, c’est suivre le chemin du développement culturel de l’une des plus grandes (...)
Chaque année, pendant le mois du Ramadan, Téhéran accueille les amoureux du Livre Saint. Ils peuvent s’adonner au plaisir de flâner dans un environnement dédié à l’art coranique, s’informer, participer aux séminaires, rencontrer les éditeurs ou encore prendre connaissance des dernières productions appliquées sur toutes sortes de supports ; imprimés, tissés, peints, gravés…ou encore sous forme audio et de vidéos.
L’édition 1384, la 13ème, s’est déroulée dans une atmosphère et dans des dimensions inédites. En (...)
Après la Foire du Livre de Francfort, ce fut le tour de la Foire du Livre de Téhéran de présenter l’événement du monde de l’édition, le " Moshaf de l’Iran " fruit d’une longue recherche entreprise par le regretté Dr. Seyed Mohamad Bagher Nadjafi.
En 1988, le Dr. Seyed Mohamad Bagher Nadjafi émigra en Allemagne, en compagnie de sa famille. Il consacra toute son énergie à la mise en valeur de l’héritage culturel iranien par l’entremise de différentes recherches, de séminaires et de publications. "Les Bahâïs (...)
On a coutume de présenter l’Occident comme un pôle de modernité et de progrès technologique, en l’opposant un peu hâtivement à l’Orient, dont on dit qu’il constitue l’autre pôle, celui de la candeur et du naturel. A la vérité, il est préférable d’éviter les dichotomies réductrices. Cependant, il n’en reste pas moins que cette séparation a d’une part, une vertu explicative, mais aussi et surtout, qu’elle est réellement palpable, en particulier à travers et dans le domaine des arts. L’art est le miroir dans lequel (...)
Parler aujourd’hui de l’une des préoccupations de l’homme moderne, "l’oubli de l’être" semble plus que jamais nécessaire. Traité par Nietzsche et surtout par Heidegger, ce problème sera étudié, dans ces lignes, selon le point de vue de Milan Kundera, et à travers une de ses oeuvres importantes, L’insoutenable légèreté de l’être (idéalement conçue comme illustration de la thématique discutée).
Par le biais de thèmes profondément ancrés dans la mythologie antique, La Bible, la philosophie des Lumières et les (...)
En 1968, Roland Barthes était déjà le champion de la Nouvelle Critique en France, voire (on peut maintenant l’affirmer solennellement) dans le monde. Il avait alors publié un grand nombre de travaux originaux, notamment Le Degré Zéro de l’écriture (1953), Mythologie (1957), Sur Racine (1963), Essais critiques (1964), Eléments de sémiologie (1965), Le Système de la mode (1967), et même son célèbre essai, La mort de l’auteur, qu’il a d’abord publié en anglais, sous le titre de "The death of the autor". En (...)
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