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| CAHIER DU MOIS |
La province d’Ispahan, un foyer de la culture et de l’histoire de l’Iran (II)
La Grande mosquée d’Ispahan
Golpâyegân et son héritage architectural seldjoukide
Abyaneh,
un bijou rouge au cœur du désert
L’Écomusée du Dr Rahgoshay à Badroud :
Un outil pédagogique au service de la sauvegarde du patrimoine et de la promotion de l’identité nationale
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CULTURE
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Repères
Les populations roms en Iran
Littératurre
Esthétique de la poésie lyrique de Saadi
Sâdegh Koushki, professeur à la faculté de droit et des sciences politiques de l’Université de Téhéran a évoqué, lors d’une conférence qui a eu lieu le 14 février 2011 à la Maison des Amis de l’écriture (Sarâ-ye Ahl-e Ghalam), les racines de l’islamophobie existant actuellement en Occident, et a proposé quelques solutions pour neutraliser ce phénomène.
Les racines de l’islamophobie
Pour M. Koushki, l’islamophobie entre dans la cadre de la vision que l’Occident a des sociétés musulmanes. Les racines de cette (...)
De nombreuses théories ont été formulées à propos des causes de l’origine et de la décadence des civilisations, certaines insistant avant tout sur les raisons spirituelles, et d’autres sur les raisons matérielles d’un tel phénomène. Cependant, pour connaître la civilisation, il faut d’abord connaître l’homme et, selon le Coran, connaître l’homme indépendamment de son Créateur et de ce pour quoi il a été créé est impossible.
Deux théories principales ont donc été formulées pour expliquer l’apparition des (...)
L’origine de la perception de la beauté par l’homme : du monde sensible à la beauté immatérielle
Selon ’Allâmeh Tabâtabâ’i, l’origine de la perception de la beauté par l’homme est issue de la contemplation et de la comparaison des différentes apparences physiques de ses semblables, qui l’ont ainsi conduit à qualifier ceux ayant une stature harmonieuse et un visage bien proportionné de "beaux". L’homme a ensuite progressivement distingué la beauté des différents êtres et aspects de la nature. La beauté (...)
La France est le pays d’Europe occidentale qui compte la plus forte proportion de chasseurs dans sa population. Pour se défendre d’une caricature qui en fait un guerrier brutal échappé d’un autre âge, le chasseur français revendique un héritage d’une longue tradition historique et n’hésite pas à invoquer un glorieux passé national pour affirmer ce « droit naturel » : la liberté de chasser est une conquête de la Révolution Française. Dans ses écoles, la république n’a eu de cesse de rappeler à ses enfants (...)
Madame Mitrâ Khosravi est docteur en psycho-gérontologie, docteur en science de l’éducation, conférencière, formatrice et conseillère auprès des familles et des établissements de malades d ’Alzheimer. Née à Nahâvand en Iran, elle exerce ses activités à Paris où elle a fait ses études. Créatrice en 1993 de la méthode de causalité – qui consiste à rechercher, en priorité, les causes des troubles du comportement du patient – elle anime des formations spécifiques à la maladie d’Alzheimer.
Son ouvrage intitulé Aider (...)
Le Dâghestân, qui signifie "pays de montagne", est situé au nord-ouest des chaînes caucasiennes. Il est voisin, au nord, de la Russie, à l’ouest, de la Géorgie, au sud, à la République d’Azerbaïdjan et à l’est, de la Caspienne. La population du Dâghestân est à 87% musulmane, majoritairement chiite ou sunnite. Les groupes ethniques y résidant sont les Avars, les Aguls, les Rutuls, les Tsakhurs, les Kumyks, les Nogays, les Juifs de montagnes, les Kurdes, etc.
Les guerres irano-russes du début du XIXe siècle (...)
Soghrâ Aghâ Ahmadi
Traduit par
Elle aurait mieux fait de dire à Hamid qu’elle n’était pas la fille de Marzbân. Mais elle l’était. Elle était sa fille, la fille adoptive de Marzbân et sa confidente.
Mais seul Marzbân et elle le savait.
Hier après-midi, lorsque Hamid lui avait demandé la main officiellement à la faculté, son cœur n’avait fait qu’un bond. Mais un bond qui ne prédisait rien de bon et qui vous laisse comme abruti pendant un moment. Non, c’était plutôt comme une chute dans un marécage, on se débat pour s’en sortir puis on (...)
Situation géographique de la province Markazi
La province Markazi, qui couvre une aire de 29 406 km², est limitrophe des départements de Téhéran et de Ghazvin au nord, d’Hamedân à l’ouest, du Lorestân et d’Ispahan au sud et de Qom à l’est. Ses villes principales sont Arâk, Sâveh, Mahallât, Khomeyn, Tafresh, Ashtiyân, Delidjân, Shâzand (Sarband), Komidjân et Zarandieh. Cette province se situe à l’est de l’intersection des chaînes de montagnes d’Alborz et de Zâgros. Son relief est essentiellement constitué (...)
En Iran, la province Markazi n’est guère connue pour ses trésors archéologiques. Province moderne, elle est beaucoup plus célébrée pour la beauté de ses paysages, son climat pur et agréable de montagne, et son urbanisme, qui se montre en particulier dans la localisation de nombreuses industries dans la région. Quand on parle d’un changement de capitale, c’est toujours le nom d’Arâk, le chef-lieu de cette province, qui s’introduit dans la conversation. Cependant, l’Iran étant un paradis archéologique, (...)
Ashtiân est une ville montagneuse, située au centre de la province Markazi, à 80 km au nord-est de la ville d’Arâk, au sud-est de la montagne Kalâheh et à l’ouest de la montagne Zirgân (qui font partie de la chaîne Zagros), dans la pente descendante des collines adjacentes à la rivière Ahou. Elle a actuellement près de vingt mille habitants. Les maisons y sont construites en escalier. C’est une ville très ancienne. Les chercheurs pensent qu’elle correspond à un ancien village appelé Eshtejân, dont le nom (...)
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