N° 36, novembre 2008

Le culte de Mithra en Iran et à Rome (II)


Afsaneh Pourmazaheri, Farzâneh Pourmazâheri

Voir en ligne : Troisième partie


1.1. Le passage de Mithra dans le monde

La conquête d’Alexandre et la chute de l’Empire Perse ne purent pas faire disparaitre les aristocraties d’origine iranienne étant fidèles à leur déité ancestrale. De plus, un grand nombre de dynastes furent des ascendants achéménides comme les rois d’Arménie, de Cappadoce, du Pont et de Commagène. C’était dans leur royaume que le culte de Mithra se pratiquait. La nomination de ces rois démontre bien leur croyance et leur culte. Par exemple le roi du Pont était le fameux Mithridate VI Eupateur. Les rois Parthes furent aussi inspirés par Mithra, entre autres Mithridate Ier le Grand, sous lequel la rédaction du Xe Yasht fut commencée après le IIe siècle av. J.-C. Durant le Ier siècle av. J.-C., les rois du Bosphore portaient ce même nom, signifiant "donné par le dieu Mithra". Ce qui est néanmoins curieux est que le nom de Mithra, pourtant si adoré par les rois, ne figura pas sur les monnaies parthiques ou pontiques. Cependant, à l’époque hellénistique, la présence de Mihre marqua leur territoire d’est en ouest, c’est-à-dire de la Parthie au Pont-Euxin. Quant à l’Arménie, le nom des temples païens fut Méhéan (Mihriyan) et Mithraea. Par ailleurs, une légende arménienne parle de Mithra comme d’un dieu cavalier emprisonné dans une caverne avec un corbeau, de laquelle il devait sortir à la fin des temps. La même histoire a lieu avec le dieu gréco-romain Tauroctone. Cela peut justifier le sacrifice des taureaux pour le dieu Tauroctone, donc pour Mithra.

Les premiers contacts gréco-iraniens et la diffusion du mithraïsme a ainsi davantage eut lieu en Asie Mineure qu’en Mésopotamie. Aussi, le voisinage du Bosphore et du Pont explique très bien la contamination des mystères mithraïques en fonction de la proximité des régions danubiennes. Les monuments de Mithridate Kallinikos et d’Antichus Ier, son fils, roi de Commagène au premier siècle av. J.-C. illustre bien ce syncrétisme gréco-iranien de l’époque hellénistique. Les inscriptions du Nemrud Dagh superposèrent Mithra à Hélios-Apollon et Hermès. On découvrit même un Mithra-Mercure dans le culte romain. Dans les imageries sculptées, Mithra serre la main du roi Zeus-Oromasdes, comme le font d’autres dieux à l’exemple d’Hercule. Dans la culture hellénistique, Mithra fait partie des dieux protecteurs officiels du souverain, mais quant au mystère, il n’a encore aucun rôle.

Cependant, les recherches sur le Mithra mystérique trouvent leur point de départ en Asie mineure. Plutarque, qui vivait vers 100 ap. J.-C., s’appuyait sur les sources plus anciennes, peut-être sur celles de Posidonius, pour expliquer le fait que les pirates ciliciens vaincus dans une bataille avec Pompée, faisaient des sacrifices à Olympos en Lycie. Ces sacrifices furent inspirés et influencés par les mystères mithraïques célébrés en son temps.

Statue de Mithra sacrifiant un taureau (date inconnue) en Italie

Certains mettent en question les propos de Plutarque. Cependant ils devraient remarquer des détails qui lui permirent d’établir une comparaison entre la liturgie de tauroctone, connue à Rome vers 90, à la période où il y vivait, et les mystères mithraïques. Cilicie à son tour était le voisin de la Commagène. Mithra s’y introduisit aussi comme un culte royal et hellénisé (TURCAN, 1981, pp.17-19). Entre l’Italie du Nord et le Limes rhéno-danubien, l’expansion de ce culte persique atteint la Retie et la Nordique notamment le Virunum près de Klagenfurt en Autriche à l’époque d’Antonin. Dans les années 130, Mithra mit son pied en Germanie. Bientôt, il arriva à Strasbourg sous Antonin. Au IIe et IIIe siècles, des régions dans les provinces danubiennes furent bien marquées par le mithraïsme. Les ruines des mithraea montrent bien la densité d’existence de ce culte dans ces régions. En revanche, il pénétra très peu en Macédoine et encore moins en Grèce sauf à Athènes, à Andros, à Partras et en Argolide (TURCAN, 1981, pp.27-28).

Les parties hellénisées de l’Asie Mineure, elles aussi, restèrent très peu touchées par ce culte iranien. Il put cependant atteindre le nord de la mer Noire et même la Syrie et la Palestine. Au contraire de ce dont on croit, rien ne marque l’existence de ce dieu dans les documentations d’Hatra. On a aussi repéré les traces de Mithra jusqu’en Egypte, en Libye-Tripolitaine et en Afrique Mineure notamment dans le Maghreb. Il prit même une place importante à Carthage et même à Volubilis (Maroc) vers 190 (DRIJVERS, 1978, p.151).

2. L’apogée du culte de Mithra dans la culture cible.

L’influence du culte de Mithra sur Rome et le peuple romain du troisième siècle ap. J. -C. est indéniable. Ce culte, au moment de sa floraison, imposa des changements constructifs dans la société et l’empire romain. C’est à cette époque que Rome se trouva en danger d’asiatisation (CUMONT, 1963, p.17). A la fin du IIe siècle, le culte de Mithra gagna les sommets de la hiérarchie militaire. L’exemple de M. Valerius Maximianus ayant la dignité consulaire en est une bonne preuve. Même l’empereur romain s’intéressa à ce culte persique. Le cas de Néron en est un exemple quoiqu’il reste encore hypothétique. D’après les inscriptions transcrites par C.L. Visconti, Commode avait consacré aux mythriastes, un local souterrain de la résidence impériale à Ostie pour y célébrer leurs offices (CIL, XIV, 66). Une autre inscription montre un chapelain de la maison impériale chargé du culte persique : sacerdos inuicti Mithrae domus Augustanae. Mais Mithra ne put s’imposer solidement chez les rois romains, par exemple à l’époque du roi Palatin dont les monnaies ne portent aucune trace de Mithra (PANVINI ROSATI, p.554).

La première affirmation officielle de l’appui impérial date de 307, lorsque Dioclétien, Galère et Licinius restaurèrent un Mithraeum en qualifiant le dieu de fautor imperii sui, "protecteur de leur pouvoir".

Mithra avait de nombreux adeptes fidèles dans les milieux sénatoriaux de l’Urbs, mais concurremment avec Cybèle et Attis, Isis et Sérapis, Hécate et Dionysos.

Mithra fut aussi greffé sur certains cultes de source, notamment en Gaule où Apollon, dieu des eaux salutaires, pouvait composer avec le dieu iranien de la lumière (TURCAN, 1981, p.37).

2.1. Le mithraïsme, une culture supérieurement marquante

L’adoration du soleil et les croyances de base de ce culte selon lequel le roi est le représentant et l’ombre de Dieu sur terre, incita les rois et les empereurs à se considérer à l’égal de Dieu de manière à gérer le pays en dictateur (CUMONT, 1963, p.17).

Quant à la Gaule, c’est dans une bonne moitié du pays que ce culte persique fleurit notamment dans la vallée du Rhône et à l’est de la Gaule, c’est-à-dire, en Belgique. La Bretagne insulaire ne put échapper à la contagion mais les mithraea se concentrèrent plutôt dans l’est-sud c’est-à-dire, à Londres et au nord de Londres.

Le banquet de Mithra, bas-relief, Musée du Louvre

Il apparait donc, en dehors de Rome, que le mithraïsme se répandit dans les endroits d’importance stratégique et économique (Rhône, Rhin, Danube), ou bien le long des frontières occupées militairement et dans certains centres administratifs, voire commerciaux.

Plus tard, ses fidèles se fondirent parmi les populations de souche ou de tradition iranienne, en Arménie, dans le royaume parthe, et même plus tard, dans la Perse sassanide. Au IIIe siècle, Mithra fut adoré de l’Ecosse à l’Indus. Parmi les religions dominantes de l’histoire de l’humanité, seul le christianisme put arriver à ce degré d’expansion dans le monde. A Rome même, les mithraea furent bâtis dans les milieux publics et plus généralement dans les casernes.

Le dieu perse, Mithra, acceptait toutes les catégories hiérarchiques dans son culte : des soldats, des greffiers de légion, des préfets de cavalerie, des légats, des gouverneurs militaires, et des centurions. Mithra les surveillait dans leur déplacement et ils jouèrent le rôle de missionnaires.

Mais à côté des casernes et des camps, les bureaux des procurateurs et les milieux fonctionnaires furent aussi touchés par la dévotion au deus inuictus. Il acceptait même comme adepte les employés du fisc (libre ou servile), les employés des finances, des esclaves des services douaniers - dont l’un en Gaule fut nommé Mithrès -, des fermiers, les ouvriers des salines, des mines et de l’armement. Curieusement, des conseillers, des magistrats et même d’anciens militaires participaient à la cérémonie rituelle de Mithra. Ce qui est intéressant est que parmi les constructeurs des autels de Mithra, beaucoup furent des gens de condition modeste. Mithra fut donc adoré par toutes les couches sociales. Les marchands et les gens d’affaires consacrèrent également une grande partie de leurs biens pour bâtir des Mithraea. Quant aux endroits consacrés à la construction des Mithraea, il n’y avait aucune restriction à cet égard et on pouvait en trouver partout dans les villes, près des centres commerciaux, militaires ou artistiques. Cela démontre également l’impact du mithraïsme sur tous les secteurs de la société (TURCAN, 1981, pp.29-34).

2.2. La propagande par transmission

De cette façon, le culte de Mithra pénétra les vallées du Danube et de Rhin et entra dans le cœur de la civilisation italienne. Lorsque le peuple de l’Occident encourageait la foule des croyants à se réunir dans les sanctuaires de ce dieu oriental, Mithra, et célébrait des cérémonies religieuses, leur curiosité les poussa à connaitre de plus en plus ce culte persique. Cela les conduisit à se convertir à ce culte, qu’ils trouvaient très attirant (CUMONT, 1963, p.15).

Mais une question peut ici se poser : "Comment donc le culte mithraïque s’est répandu en Perse ?"

D’après F. Cumont, les Mages habitant en Babylonie furent intéressés par l’astrologie mésopotamienne et le mithraïsme persan. Ce fut par leur intermédiaire que cette cohabitation "chaldéo-persique" devint possible. Cette hypothèse est également partagée par F. Saxel, R.C. Zaehner, A.D.H. Bivar et G. Gnoli. A l’époque on pratiquait beaucoup l’astrologie issue du cœur de la religion mithraïque. Mais ce qui est encore plus intéressant, c’est que cette astrologie fut hellénistique et non pas forcément babylonienne. L’échelle mystérique du mithraïsme n’est pas d’origine chaldéenne (Origène, C. Cels., VI, 22) mais d’après les recherches récentes, elle doit être dans le nord-ouest de l’Iran.

Ce qui peut par ailleurs nous intéresser est le développement du culte de Mithra dans l’armée romaine. Ces derniers furent encadrés par les anciens officiers de l’armée de Mithridate. Le roi bientôt mort, ils décidèrent de continuer leur lutte dans les batailles. Ils connaissaient très bien Mithra comme le dieu garant de leur victoire au moment de la guerre. Aussi, selon leurs croyances, un dieu de "contrat" accompagnait les combattants. Selon G. Widengren, dans sa guerre psychologique contre les romains, Mithridate avait exploité les oracles attribués à Hystaspe. Ces oracles parlaient d’un sauveur "grand roi" qui fut envoyé par Zeus comme "Chef de la sainte malice" (dux sanctae militiae). Le Mithra des mystères gréco-romains fut lui aussi le héros d’une sancta militia. De toute les façons, le fait que la diffusion de ces prophéties ait ouvert la voie au succès de la diffusion de ce culte, reste discutable (TURCAN, 1981, p.19).

Mithraea (sanctuaire de Mithra) découvert dans les ruines antique d’Ostie, Italie

Parmi les pirates ciliciens vaincus dans une bataille avec Pompée, 67 furent emprisonnés et mis au travail dans les terres en Italie du sud. Ce fut en grande partie eux qui firent entrer leurs rites en Occident. D’un autre côté, les soldats romains ayant participé dans les guerres en Asie, aidèrent énormément à la propagation et à la diffusion des rites mithraïques. Rappelant l’atmosphère religieuse de l’époque de César à Rome, J. Carcopino affirme : "Mithra... recrute alors ses premiers fidèles." Aussi F. Cumont, en comparant "Diaspora iranienne" à celle des israélites, mentionne que les premiers mythriastes ont dû apparaitre à Rome au moment où la première communauté juive s’établit dans le Trastevere sous la surveillance de Pompée, après la prise de Jérusalem. Cette hypothèse ne fut jamais confirmée ni par les archéologues, ni par les littéraires. A Rome, non plus le moment où Pompée fit une campagne pour attaquer l’Orient, n’est repéré par aucun document mithraïque.

Mithra en Occident

Cependant, certains soldats de Corbulon qui avaient fait campagne en Arménie et furent plus tard recrutés en Cappadoce, durent rapporter en Occident les germes de futures communautés mithraïstes. La XVe Apollinaris fut l’une des légions de ce général romain qui avait vaincu les Parthes. Cette légion revint, 70 ans après la prise de Jérusalem, sur le Danube à Carnuntum où fut offert par un centurion étranger, C. Sacidius Arbarus, un autel à Mithra. Certaines briques retrouvées dans le Mithraeum de Deutsch-Altenburg portent la marque de la XVe Apollinaris. Une autre légion de Corbulon, la Ve Macédonique, après la guerre contre les Juifs, se trouva aussi sur les bords de Danube, mais plus à l’Est en Dobroudja, à l’époque de Vespasien. Elle fut logée dans une caserne jusqu’en 162 à Troesmis. Ce fut là où un centurion gratifia le dieu persique d’un autel. Enfin la troisième légion, la IIe Andiutrix, participa à une guerre civile en 70. Après la guerre, elle fit campagne en Bretagne et se fixa sous Trajan à Aquincum (Budapest). C’est là qu’un centurion fit une dédicace au deus inuictus. Apparemment, les territoires de Tibère et de Vespasien (annexions de la Cappadoce), le Pont occidental, le Commagène et la Petite Arménie furent des berceaux où le culte de Mithra se mit à bourgeonner dans le monde romain ou romanisé.

Mithra à Rome et en Italie

A l’époque de Domitien, un affranchi impérial, pour honorer la grandeur de Mithra, lui offrit une dédicace bilingue (CIL, VI, 732). Enfin en 80, un poète de cour, P. Papinius Statius, fit entrer le dieu Mithra dans la littérature latine. Il finit le premier chant de sa Thebaide en évoquant une scène de la tauroctonie. Ainsi, durant le dernier quart du Ie siècle ap. J.-C., Mithra s’introduit solidement et officiellement à Rome et dans les milieux impériaux. Un ensemble d’inscriptions avec des images gravées sur marbre par Alcimus, esclave de T. Claudius Livianus, le préfet du prétoire en 102 sous le règne de Trajan, constitue la représentation la plus ancienne de Mithra sacrifiant le taureau. Les Mithraea se multiplièrent à Rome du IIe au IVe siècle. Il y en existe actuellement une quarantaine, mais M. J. Vermaseren suppose que leur nombre s’élève à environ une centaine.

En dehors du Latium et de l’Etrurie méridionale, la densité des Mithraea fut la plus forte en Italie. La Campanie et la Cisalpine sont considérées comme les parties les plus importantes de la pénétration de ce culte. Plusieurs portes ont notamment été découvertes, en particulier (outre Ostie) Antium sur la mer Tyrrhénienne, Aquilée sur l’Adriatique. Syracuse, Catane et Palerme en Sicile furent également influencés par la diffusion de ce culte (TURCAN, 1981, pp.25-26).

Les militaires aussi furent l’un des éléments les plus importants répandant ce culte persique en Europe et dans toutes les provinces occidentales. Ils furent obligés de gérer différentes villes et pays du monde avec des fonctionnaires, commerçants et artisans souvent liés à l’armée et aux bureaux de la fiscalité. Partout où ils allèrent, ils faisaient des dédicaces dans les mithraea pour honorer leur dieu Mithra. A Doura, sur l’Euphrate, les archers palmyréniens adorèrent le dieu invaincu, Mithra. En Bretagne, de même, les militaires furent majoritaires parmi les adeptes de Mithra (TURCAN, 1981, p.31).

2.3. L’intégration de la culture orientale et du culte mithraïque dans la société occidentale

Rome, aux premiers siècles ap. J.-C., comptait énormément sur ses forces militaires. Les légions campant dans le Danube et à Raine, faisaient partie des forces les plus impénétrables de l’empire. Par conséquent, petit à petit, l’empereur romain Constantin commença à considérer l’Orient comme le noyau et le centre de son pourvoir. On peut nommer également les trois premiers siècles après J.-C. comme la période où l’Orient pénétra et envahit l’Occident en paix. Cette présence se manifesta pour la première fois dans les institutions politiques de l’époque.

Avant les réformes sous Auguste, même l’armée n’était pas considérée comme une force permanente et solidaire étant donné que l’on réunissait les soldats pour faire la guerre après laquelle ils vaquaient de nouveaux à leurs occupations respectives.

De plus, les astrologues, les mathématiciens et les plus grands docteurs et défenseurs des lois surnaturelles venaient tous de l’Orient (CUMONT, 2004, pp.28-31).

Mithra n’a pu conquérir l’Occident qu’en s’intégrant à un système de croyances et moyennant une organisation liturgique. Celle-ci répondait à certaines exigences des hommes dans le contexte historique du monde européen et méditerranéen des trois premiers siècles de notre ère (TURCAN, 1981, p.3). Ce culte fut tellement apprécié par le peuple romain que les gens eux-mêmes se mirent à faire du prosélytisme au sein de l’ensemble des territoires de l’empire. En conséquence, un grand nombre de croyances sémites et persanes envahirent les terres de l’empereur romain. Ce phénomène commença à menacer le pays. Les philosophes grecs et romains avertissaient toujours les empereurs du danger que pouvait représenter le pouvoir du peuple et les mettaient en garde de ne pas leur accorder autant de liberté ou leur permettre de trop s’ingérer dans les affaires politiques. Ce principe fut strictement respecté durant des siècles (CUMONT, 1963, p.17).

À suivre...


Visites: 4911

modération a priori

Ce forum est modéré a priori : votre contribution n’apparaîtra qu’après avoir été validée par un administrateur du site.

Qui êtes-vous ?
Votre message

Pour créer des paragraphes, laissez simplement des lignes vides.



4 Messages

  • Le culte de Mithra en Iran et à Rome (II) 21 octobre 2011 18:12, par boualem said

    moi je m’appelle boualem said je suis chercheur algérien j’ai un sujet de recherche sur les divinités de l’occident dans le Maghreb antique avant et durent la période romaine "izise mithra et cérés "

    repondre message

  • Le culte de Mithra en Iran et à Rome (II) 6 mars 2013 05:34, par cassandra vermeulen

    le probléme de vos textes étant que vous voulez absolument y introduire ( Des gros mensonges de la bible et des plagiats) que vous vouliez absolument remplacer le pharisaÏsme par le judaÏsme via des khazars( introduis au pharisaïsme à partir du 7eme siécle) ajouter un Israel etc etc bref des hébreux ,moîse qui en fait n’ont jamais existé et le terme juif jew qui est une invention des english au environ de 1776. Donc il y a des mots tels que judaÏSME et juif etc qui n’ont rien à faire dans vos textes, pour qu’ils soient fiables.

    repondre message

  • Le culte de Mithra en Iran et à Rome (II) 24 novembre 2013 13:23, par De Braekeleer Richrd

    Bonjour,
    pourriez-vous me renseigner si le culte de Mithra est toujours présent dans la population iranienne actuel.
    Existe-t-il des articles.
    merci

    repondre message

  • Le culte de Mithra en Iran et à Rome (II) 20 décembre 2018 15:07, par André Pierre Claver OKOUDJOU

    Je suis intéressé par les pages sur Mithra. Merci

    repondre message