La Revue de Téhéran | Iran



  • Henrik Ibsen : regard sur ses drames les plus célèbres

    Shekufeh Owlia N° 34, september 2008

    "Le drame d’Ibsen est la Rome des drames contemporains, car tous les chemins y mènent."
    Martin Lamm
    Père du théâtre moderne, Ibsen aborde les problèmes sociaux de son époque de manière à la fois audacieuse et novatrice, ce qui a considérablement contribué à sa renommée mondiale. Il aborde la question du nationalisme romantique de son pays natal, la Norvège, d’un point de vue critique et est surtout reconnu pour son œuvre imprégnée de réalisme. Les drames sociaux d’Ibsen sont de loin plus populaires que (...)


  • Le luth fou (Épisode n° 12)
    Le jardin musicien

    Vincent Bensaali N° 34, september 2008

    Les rues de la vieille ville sont désertes. Le soir se fait sentir. L’air du désert, encore chaud, circule entre les bâtiments, caressant les dômes, pénétrant les tours de vent, buvant l’eau des écheveaux de laine teinte placés sur les toits. Il va son chemin paisiblement, sans soulever de poussière, tel un curieux, ayant ralenti son pas au sortir de l’immensité minérale, afin de mieux profiter du spectacle, se laissant distraire par ce que la main de l’homme a édifié. Né au cœur du Kavir, après une (...)



  • Les fouilles de Shadiakh dans le Khorâsân - 2001/2005

    Mireille Ferreira N° 34, september 2008

    Présentées au printemps 2008 à l’auditorium du musée du Louvre à Paris par le Docteur Rajabali Labbâf Khâniki, archéologue, rattaché à l’Université de Mashhad, ancien adjoint scientifique de l’Organisation du Patrimoine national.
    Rajabali Labbâf Khâniki a tout particulièrement étudié et fouillé les vestiges archéologiques du Khorâsân : sondages et fouilles archéologiques de onze sites historiques, la dernière campagne ayant consisté en six saisons de fouilles à Shadiakh. Il a publié huit ouvrages, (...)



  • Ghadamali Sarâmi ou "Le langage de la rotation, du trouble et du tremblement de terre"*

    Mahnâz Rezaï N° 34, september 2008

    "S’il y a une vérité, c’est l’amour
    Tout autre chose n’est que métaphore"
    Ghadamali Sarâmi est l’un des grands poètes et écrivains contemporains iraniens. Docteur ès lettres persanes, il est né en 1322 (1943) à Râmhormoz, l’une des villes de la province du Khouzestân. Son premier recueil de poèmes intitulé Le Sourire des vœux a été publié alors qu’il n’avait que vingt ans. Depuis, il a publié de nombreux recueils de poèmes dont Avec ce silence rouge (1967), Plus doux que le vol (1988), De deux points jusqu’à tout (...)


  • Journal de Téhéran
    Verrons-nous la fin du monde ?

    C. Kerneiz

    N° 34, september 2008

    1 Mordâd 1316
    23 Juillet 1937
    Sous la plume de M. C. Kerneiz, notre confrère les Echos de Syrte publie une intéressante étude que nous reproduisons ci-après.
    Vers la deuxième quinzaine du mois de décembre 1936, nous avons tous failli être victimes d’un projecteur céleste, venu d’on ne sait quelle profondeur de l’espace, qui a frôlé notre globe à la vitesse approximative de trente mille kilomètres à la seconde. Il n’en est passé qu’à quelques millions de kilomètres, une paille à l’échelle de l’immensité (...)


  • Journal de Téhéran
    Zoroastrisme en Chine

    A. Fâroughy

    N° 34, september 2008

    4 Mehr 1316
    26 Septembre 1937
    Nous commençons aujourd’hui un intéressant article de M. A. Faroughy sur la propagande religieuse zoroastrienne en Chine.
    M. A. Faroughy fait partie de cette élite de jeunes iraniens, qui, conscients des responsabilités de l’heure présente travaillent de tout cœur pour la grandeur de leur patrie et l’idéal noble de leur souverain.
    Cette étude qui tire au clair la propagation de notre culture nationale et le rayonnement de notre pensée contribuera à montrer une fois de (...)


  • Faune et flore iraniennes
    Le leucojum & le melanoides tuberculata

    Mortéza Johari N° 34, september 2008

    Le leucojum
    Nom scientifique : Leucojum aestivum
    Nom persan : Barf-dâneh
    Plante vivace, verte, glabre, ayant un bulbe de gros calibre de forme ovoïde. La tige, mesurant de 30 à 60 cm, est presque aussi longue que les feuilles vertes, planes et à deux tranchants. Sa fleur assez grande et penchée est de couleur blanche, avec une tache verte à l’apex. Elle fleurit d’avril à mai, et ses graines mûrissent en juillet. Cette plante se développe de préférence sur les sols moyens et lourds exposés au (...)



  • A la recherche du paradis

    Hoda Sadough N° 33, août 2008

    Dans toutes les cultures, le jardin idéal a toujours été envisagé comme un paradis, un havre de confort, d’abondance et de beauté. C’est l’incarnation d’une tentative humaine cherchant à reproduire à l’échelle réduite le système biologique terrestre. L’histoire des jardins commence avec celui de l’Eden, symbolisant le sceau de l’harmonie entre Dieu et les hommes avant le premier péché, et continue avec les jardins persans de Mésopotamie et d’Iran qui, avec les pays d’Extrême-Orient, ont toujours été les plus (...)



  • Le Taj Mahal et l’héritage de l’architecture iranienne en Inde

    Hossein Soltânzâdeh
    Traduit par

    Babak Ershadi N° 33, août 2008

    La construction des monuments funéraires à la mémoire des grandes personnalités est une vieille tradition en Iran. Les sépultures royales des Achéménides à Naghsh-e Rostam, à quelques kilomètres du site historique de Persépolis en sont des exemples antiques. Cette tradition a été maintenue pendant la période islamique. A partir des XVe et XVIe siècles, sous le règne de la dynastie mongole des Timourides (descendants de Tamerlan), l’architecture funéraire prit son essor, et les monuments funéraires (...)



  • Le jardin iranien

    Djamileh Zia N° 33, août 2008

    L’eau et l’ombre sont précieuses en Iran ; elles procurent de la fraîcheur dans ce pays au climat sec. Les Iraniens ont trouvé des moyens pour contrecarrer la lumière et la chaleur intenses du soleil pendant l’été : ces moyens s’appliquent en particulier dans le jardin. I- Le jardin est un élément de l’architecture iranienne depuis des millénaires :
    Un certain nombre d’éléments sont en faveur de cette affirmation. On a trouvé en Iran des pots en terre cuite datant du 4e millénaire avant J.C., sur lesquels (...)


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