La Revue de Téhéran | Iran



  • L’avenir de l’élevage des crocodiles en Iran

    Arefeh Hedjazi N° 30, mai 2008

    Cela fait à peine deux décennies que l’élevage d’animaux à des fins commerciales commence à être un sujet d’actualité en Iran et un secteur éventuellement considéré comme rentable. Malgré cela, la diversité des micros climats, l’étendue des ressources naturelles et les besoins mondiaux ont considérablement contribué au développement de ce secteur une branche en pleine expansion et l’on voit tous les jours la mise en service de nouveaux centres d’élevage d’animaux parfois exotiques, comme en témoigne l’intérêt (...)


  • Faune et flore iraniennes
    L’aubépine & l’esturgeon iranien

    Mortéza Johari N° 30, mai 2008

    Aubépine
    Nom Scientifique : Crataegus pontica
    Nom persan : Zâlzâlak
    Ce petit arbre mesurant de 6 à 10 m de hauteur a un feuillage caduc et une couronne presque dense, arrondie ou en forme de dôme. Son tronc est fin, robuste, et recouvert d’une écorce brun-grisâtre crevassée. Ses branches sont plus ou moins longues ; les jeunes rameaux, de couleur brun-blanchâtre, presque dépourvus de feuilles. Ses feuilles mesurent de 3 à 6 cm de long et de 2,5 à 6,5 cm de large et sont de forme ovale, glabre en (...)



  • La fête de Norouz ou l’éloge de la joie

    Rouhollah Hosseini N° 29, avril 2008

    Le monde est profond, plus profond qu’aucun ne peut le dire. Son malheur est profond. La joie est plus profonde encore que le chagrin. Le malheur dit : va t-en ! Mais, la joie veut toute l’éternité. Elle veut profondément l’éternité abyssale.
    Frédéric Nietzsche
    Norouz est évidemment la fête iranienne la plus joyeusement célébrée depuis un temps mythique, situé par la plupart des historiens à l’époque de Djamshid, le roi perse qui fit la joie de son peuple en montant au ciel debout sur son char. Dans la (...)



  • Mehregân, fête de l’Homme et de la Nature

    Arefeh Hedjazi N° 29, avril 2008

    Le Nouvel an iranien, qui marque l’entrée, du moins administrative, de l’Iran dans une nouvelle année 1387 remet de nouveau le débat sur la question des relations qu’entretiennent en Iran la superposition de deux traditions culturelles, celles préislamiques et parfois même pré zoroastriennes de l’Iran, et l’apport de l’islam. En effet, l’Iran musulman a su préserver la plus grande partie de son héritage millénaire, menacé par plusieurs invasions. Ainsi, nous sommes témoins du cumul de plusieurs types de (...)



  • Fête de Sadeh

    Grandes festivités universelles du feu

    Babak Ershadi N° 29, avril 2008

    Sadeh (qui veut dire littéralement "centaine" en persan) est la fête de l’apparition du feu, une centaine de jours après la fin de l’été ou une centaine de jours avant le début du printemps, selon la légende. La fête de Sadeh est une fête aussi ancienne que Norouz ou Mehregân. Elle était la plus grande fête du feu de l’antiquité iranienne et également l’une des plus grandes solennités des Perses. A ce titre, elle était célébrée avec magnificence et par des cérémonies publiques. Lorsqu’arrivait le soir de la (...)



  • Yaldâ et Noël, fêtes de la "naissance"

    Djamileh Zia N° 29, avril 2008

    Yaldâ ou la naissance de Mehr
    La nuit du 21 au 22 décembre est importante pour les Iraniens. Tout le monde se prépare, plusiefcurs jours à l’avance, à célébrer la fête de Yaldâ, qui a lieu au cours de cette nuit la plus longue de l’année. Pendant cette fête, les Iraniens se rassemblent en famille, traditionnellement chez les grands-parents, et veillent jusqu’à l’aube. Ils mangent des fruits et des fruits secs, racontent des histoires et lisent des poèmes.
    Yaldâ est un mot syriaque, qui signifie (...)



  • Entretien avec Fereydoun Joneydi

    Djamileh Zia N° 29, avril 2008

    Féreydoun Joneydi : "La fête "Tchelleh" et la fête de "Norouz" montrent que nos ancêtres avaient des connaissances très poussées en mathématique et en astronomie."
    Monsieur Fereydoun Joneydi est le Directeur de la Fondation Neyshâbour. Cette fondation privée a pour but de promouvoir la recherche sur l’histoire, les langues et les civilisations iraniennes. La Fondation Neyshâbour, qui accueille chaque année des dizaines d’amoureux des civilisations de l’Iran, a été inaugurée en 1979, grâce aux efforts (...)



  • La miniature iranienne : un art vieux comme le monde

    Babak Ershadi N° 29, avril 2008

    Les peintures rupestres découvertes dans la grotte de Dosheh, dans la province du Lorestan, vieilles d’environ dix mille ans, seraient probablement les "œuvres picturales" les plus anciennes découvertes en Iran. Pendant la période préislamique, les œuvres picturales décoraient souvent les murs des grands monuments royaux, depuis les Achéménides jusqu’aux Sassanides, en passant par la courte domination hellénique avec le règne des Séleucides et des Arsacides. Après l’islamisation de l’Iran à partir du (...)



  • La ville de Rey et le sanctuaire de Shâh Abdol’azim

    Afsaneh Pourmazaheri, Farzâneh Pourmazâheri N° 29, avril 2008

    La ville de Rey, parfois surnommée "Ancêtre de la Perse antique", compte aujourd’hui parmi les villes religieuses du pays visitées par de nombreux shiites du fait de la présence de sanctuaires, tombeaux et cimetières. Le monument attirant le plus de pèlerins demeure le sanctuaire de Shâh Abdol’azim.
    Ce dernier était l’un des descendants du deuxième Imam shiite, l’Imam Hassan. Il s’enfuit de son pays natal pour fuir des persécutions politiques et se mit à parcourir les villes en tant que messager. Après (...)



  • Etude des différentes sortes de paronomases dans les textes pehlevis

    Golfam Sharifi N° 29, avril 2008

    Paronomase (ou Jénâs) est une figure de syntaxe qui consiste à rapprocher au moins deux paronymes, c’est-à-dire des mots qui se ressemblent beaucoup sur le plan des sonorités mais qui n’ont pas la même signification. Cette figure est l’une des bases esthétiques centrales des œuvres littéraires. Cependant, jusqu’à présent, peu de recherches ont été consacrées à l’étude de l’emploi de cette figure dans les textes rédigés en moyen Perse.
    A cette époque (224-651), les orateurs et les poètes employaient, plus ou (...)


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