N° 47, octobre 2009

Le tourisme au Sistân et Baloutchistân, les atouts d’une terre aride


Afsaneh Pourmazaheri, Farzâneh Pourmazâheri


La péninsule de Gourdim, Kenârak

Bientôt, capitalisme et mondialisation obligent, aucune région sur terre ne sera hors d’atteinte de la vague toujours grandissante des touristes. Les pôles nord et sud, le désert de Gobi, l’épaisse forêt amazonienne et cent autres coins autrefois « immaculés » du monde sont aujourd’hui devenus terre d’accueil pour des milliers de voyageurs. Même l’espace ne fait plus exception à la règle. Avec l’art et les moyens, on enverra bientôt léviter dans l’immensité galactique les centaines de touristes qui sont déjà sur les listes d’attente. Il reste cependant sur terre des endroits discrets, potentiellement aptes à attirer le touriste en mal de nouveauté, à devenir par ce biais, un pôle économique pour le pays concerné. Il est de notoriété publique que l’Iran est l’un de ces pays. Avec sa géographie attractive et compte tenu de la richesse de son passé, il représente une destination prisée par les amateurs d’art et de nature. Certaines régions iraniennes sont tristement à l’écart des grands mouvements de visiteurs, car, au fur et à mesure, elles se sont presque diluées dans l’espace et dans le temps, et, la chaleur aidant, se sont littéralement desséchées. Pourtant, leur authenticité et leur originalité a de quoi étonner les éventuels voyageurs. D’autant plus que quelques unes d’entre elles furent des berceaux de la civilisation humaine, à savoir, les provinces du Khouzestân, de Shirâz et du Sistân et Baloutchistân.

Le golfe de Gavâter

Cette dernière a vu naître la première ville (au sens moderne du terme) de l’histoire de l’humanité, il y a 5200 ans. Grâce à sa richesse culturelle et naturelle, la province du Sistân et Baloutchistân pourrait, comme nous le verrons, développer son tourisme en s’appuyant sur sa géographie, son histoire, son folklore et son artisanat.

Concernant sa géographie, le Sistân et Baloutchistân est la province à la fois la plus étendue et la moins peuplée de l’Iran. Par le nord, elle est limitée par les alluvions de la rivière Helmand (Hirmand) (qui se déverse dans le lac le plus vaste d’eau douce du monde) et par le sud, elle rencontre la mer d’Oman et bénéficie d’un climat montagneux. Au centre, le mont volcanique de Taftân crée une situation climatique diversifiée. Elle est également influencée par les vents en provenance de la péninsule indienne et les pluies saisonnières de l’océan Indien. Parmi les mille deux cents espèces végétales du Sistân et Baloutchistân, soixante-dix disposent de vertus pharmaceutiques. La région est également le principal centre de culture de jeunes arbres fruitiers des régions chaudes, notamment le dattier, le bananier, le manguier, le pistachier et le résinier. Etant située dans la zone désertique de l’Iran, son agriculture n’est assurée que par le passage des rivières Bâhoukalât, Bampour, Kâdjou et la rivière Kârvândar. C’est grâce à sa superficie et à sa diversité climatique qu’elle possède une belle variété de végétaux et des sources naturelles renouvelables. Toutes ces caractéristiques ont rendu cette province favorable au développement de l’éco-tourisme.

Le village de Kahir

Parmi les attractions éco-touristiques du Sistân-o-Baloutchistân, la côte rocheuse du sud de la ville de Tchâbahâr occupe une place importante. Les vagues affrontant les rochers montent parfois jusqu’à une hauteur de cinq mètres, laissant ensuite de nombreux crabes et tortues sur les rochers. L’avancée de l’eau le long de la côte rocheuse de Tchâbahâr et l’érosion des roches a créé une architecture naturelle des plus séduisantes. Ce magnifique paysage s’étend du port de Tchâbahâr jusqu’au golfe de Gavâter dans le sud-est de l’Iran. Bénéficiant d’un climat agréable en hiver, cette zone maritime sert également de destination hivernale à une grande variété d’oiseaux migrateurs dont le pélican, le flamant et le courlis à bec grêle [1]. Sur la route de Tchâbahâr-Gavâter, l’étang de Lipâr est l’habitat d’espèces rares d’arbustes ainsi que celui de divers oiseaux notamment du héron cendré [2], de la perdrix si-si [3] et du ciconiidé [4]. Sur le chemin de Tchâbahâr-Gavâter, de Tchâbahâr-Kahir et de Tchâbahâr-Irânshahr, les montagnes érodées progressivement par l’action de la nature offrent également un beau panorama aux voyageurs. Sculptées de manière irrégulière, ces hautes collines et montagnes sont normalement appelées "collines martiennes" par les locaux.

Le crocodile au museau court, nommé Gândou

Dans le nord-ouest de Tchâbahâr, dans le petit village de Kahir, une grande colline de boue attire l’attention des passants. Ce phénomène, qui n’existe que dans quatre pays au monde dont l’Iran, est le résultat de l’éruption du gaz et de la boue grise et froide de l’intérieur de la colline. Autour de cette colline gigantesque, aucune végétation ne peut survivre. Cette colline inhabituelle attire chaque année un grand nombre de voyageurs qui parcourent un long chemin uniquement pour voir de près les phénomènes naturels engendrés par et sur la colline.

Nommé Gândou par les locaux, le crocodile au museau court est peut-être l’espèce animale la plus célèbre du Sistân et Baloutchistân. Il habite dans la rivière Sarbâz près d’une ville du même nom et compte parmi les crocodiles les plus rares du monde. Son habitat peut être transformé (avec les précautions écologiques d’usage) en destination éco-touristique d’importance pour les amateurs, ainsi que pour les spécialistes.

La mangrove de Harâ

La mangrove de Harâ est une autre des particularités de cette province. Ces arbres et arbustes sous-marins s’étendent des bords de la mer d’Oman jusqu’au golfe Persique et constituent les dernières forêts sous-marines du sud-ouest de l’Asie. Leurs pieds étant enracinés dans la mer, ces arbustes sont soumis aux marées. Lorsque l’eau monte, ils disparaissent complètement, et quand elle redescend, ils réapparaissent jusqu’aux racines. Malgré une flore peu variée, ces forêts offrent une certaine diversité de leur faune en grande partie due à leur situation géographique : elles sont le fruit de la cohabitation de l’eau salée et de la terre. Ces forêts sous-marines sont les ressources les plus importantes de l’écotourisme de l’Iran.

La grotte Lâdiz est une autre attraction naturelle du Sistân et Baloutchistân. Elle est située à une centaine de kilomètres de la ville de Zâhedân et possède une bonne qualité d’eau, au point d’avoir jadis fait office de qanât (source naturelle). Aujourd’hui encore, elle remplace l’eau potable et sert à irriguer les champs et les fermes. Outre la beauté naturelle de la grotte, le paysage riche en tamaris [5] accentue l’attrait touristique de l’endroit.

La grotte Lâdiz, située à une centaine de kilomètres de la ville de Zâhedân

S’agissant de la faune, il faut signaler la présence de l’ours noir, qui est un mammifère propre aux régions du sud-est de l’Iran, dont les provinces du Sistân et Baloutchistân, de Kermân et de Hormozgân. Il habite souvent dans les régions montagneuses et forestières. Il est plutôt omnivore et se nourrit normalement d’insectes, de miel, d’invertébrés, de petits vertébrés et de fruits. Selon le classement établi par l’IUCN (Union internationale pour la conservation de la nature) cette espèce est en danger d’extinction en raison de son rythme très lent de procréation. Cette espèce est actuellement préservée dans la réserve forestière de Pouzak dans la province de Nikshahr.

Les plaines de Rossignols, Samsour, Rebât et d’Abkhân Khâsht sont les terres d’accueil d’un oiseau rare et précieux, l’outarde houbara d’Afrique, dont le nombre diminue de jour en jour. Il habite dans les régions sablonneuses et broussailleuses et dans les déserts. Il fait son nid sur le sol et n’habite pas en un seul endroit de manière permanente.

Le parc de Tchâh-e Nimeh

Le Sistân et Baloutchistân possède de nombreuses autres merveilles naturelles. Citons pêle-mêle le tamias rayé [6], les grottes Bân Massiti, andjir-e ma’âbed (qui signifie “la figue des temples”), la rivière Bâhoukalât, le quai Beris - une porte vers l’océan -, le golfe de Gavâter et son phare situé à l’extrême sud-est de l’Iran, le quai Kenârak, le mont Taftân ou le mont Tcheheltan (le mont des quarante), la colline de sel, la source d’eau chaude de Bazmân, la source d’eau minérale de Moussâ, Tchâh-e Nimeh, le village de Tamine et la rivière Dâman. La liste n’est évidemment pas exhaustive.

L’histoire du Sistân et Baloutchistân est étroitement associée à la mythologie iranienne. Selon l’Avestâ, elle fut la onzième terre créée par Ahourâ Mazdâ (Dieu de la Perse antique). Elle est également évoquée dans le Shâhnâmeh et les historiens attribuent la naissance de cette province au roi Garchâsb [7], l’un des descendants de Kiomars qui fut le premier roi mythique de Perse. Il reste que d’après les documents existant, se sont les Sakâs, une tribu arienne, qui y régnèrent pour la première fois (d’où le nom de la province). Compte tenu de son histoire, le Sistân et Baloutchistân possède actuellement de nombreux sites historiques et culturels qui seraient susceptibles de lui permettre d’entretenir une politique touristique profitable et constructive.

Le village de Tamine

Parmi les endroits les plus visités de la province, le mont Khâdjeh a le privilège d’attirer tout particulièrement l’attention des visiteurs. Appelé en langue pahlavi oushidâ (le mont éternel), ce mont est la seule hauteur notable de la plaine du Sistân, située à une trentaine de kilomètres de la ville de Zâbol. Vu d’en haut, ce mont en basalte ressemble à une île au milieu du lac Hâmoun. Il est vénéré par les zoroastriens qui considèrent que leur prophète, Zoroastre, y réapparaitra un jour. Les musulmans et les chrétiens font également preuve de respect à son égard. Différentes dynasties ont laissé leur trace sur ce mont, à savoir les Arsacides, les Sassanides et certaines dynasties musulmanes. Depuis les Sassanides, le lieu n’a jamais été séparé de la Perse.

La Ville Brûlée (Shahr-e Soukhteh) est sans doute le site archéologique le plus important de la région. Ce lieu unique datant de plus de 5200 ans est sans doute la première ville moderne du monde. On y a notamment trouvé le premier dessin animé du monde, des indices de la pratique de la chirurgie du cerveau et un œil artificiel.

Le village touristique de Tisse, Tchâbahâr

Le sanctuaire de Karkouyeh, situé dans la ville de Zâbol, remonte à l’époque achéménide, au Ve siècle av. J.-C. De l’ensemble du monument, à part un mur en brique et quelques petites structures secondaires, il ne reste pas grand-chose. On attribue l’origine de ce sanctuaire à Keykhosro [8] et l’on soutient qu’il fut utilisé jusqu’au XIVe siècle. Selon la description qu’en donnèrent des historiens islamiques, deux coupoles décoraient le toit, sur lesquelles deux grandes cornes furent installées. Un feu sacré était placé sous les deux coupoles. Ce sanctuaire est à plusieurs reprises évoqué par les voyageurs et les savants de l’époque islamique. Estakhri [9] parle de Karkouyeh comme de la première voie liant le Sistân à Hérat, et Yâghout Hommavi [10] en parle comme d’un sanctuaire de première importance des zoroastriens du Sistân.

Dahâneh-ye Gholâmâns, Zâbol

Dahâneh-ye Gholâmâns est une autre cité historique de la province du Sistân et Baloutchistân. Située à proximité de la ville de Zâbol, elle fût découverte par des archéologues italiens en 1960, avant d’être fouillée de fond en comble entre 1962 et 1965. Elle possédait de gigantesques bâtiments verticaux, des temples, des lieux d’habitation, des rues, des zones militaires et économiques. Cette ville est la seule ville datant de l’époque achéménide dont il reste des traces. Elle atteste clairement l’étendue de l’influence de cette dynastie sur les régions orientales de l’Iran.

Le château d’Irandegân, Khâsh

Bibidoust, autre lieu notable, est un centre de pèlerinage tout près de la ville de Zâbol. A l’est de Zâbol, on peut également visiter les ruines d’une petite ville appelée Zâhedân-e Kohneh. Les ruines du barrage de cette ville évoquent encore sa destruction par Tamerlan (1369-1405) lors de sa conquête de la Perse. Arnold Henry Savage Landor (1865-1924), anthropologue, peintre, globe trotter et géographe anglais, a visité cette ville en 1901 et l’a comparée à l’est de Londres. De la ville de Zâhedân-e Kohneh il ne reste aujourd’hui que la muraille et une grande forteresse bâtie sous Tamerlan.

Le mausolée de Khâdjeh Ghaltân est le lieu de pèlerinage le plus populaire de la ville de Zâbol. Un grand nombre de pèlerins s’y réunissent chaque année à l’occasion de la fête de Norouz (le Nouvel an). Ce mausolée rectangulaire comprend un fronton et une chambre voutée. Le tombeau mesurant trois mètres à l’intérieur de la chambre appartiendrait au frère du prophète Daniel.

Le Sistân et Baloutchistân abrite d’autres lieux historiques, notamment quelques tours dont celle de Sâm, appartenant à l’époque arsacide et sassanide, la tour de Kahak Kahzâd, servant de citadelle militaire, la Tour de Rostam, la plus grande de la région et datant de l’époque islamique, la tour Motchi, près de la Ville Brûlée ; la tour de Râmroud et un petit village, Seh Kouheh, datant de l’époque qâdjâre.

Les trois grottes (Ghârhâ-ye sehgâneh) et le temple de Bân Massiti

Le Sistân et Baloutchistân a également une culture riche, qui se manifeste notamment par les coutumes et l’art traditionnel des autochtones de la région. Ses habitants se divisent en deux groupes : les sédentaires et les nomades (ces derniers font majoritairement partie de la tribu baloutche). Les premiers vivent d’agriculture et les seconds, de l’élevage du bétail. Le chant et l’artisanat du peuple baloutche reflètent leur vie quotidienne et leur folklore. L’artisanat est essentiellement un art féminin. La broderie est le premier art qu’une petite fille doit apprendre. C’est elle qui devra broder sa propre robe de mariée. La poterie, la tapisserie, le tissage du kilim, du tapis de feutre, de la natte de paille, du tissu de tente, des rideaux, la broderie de morceaux de miroirs et de la dentelle, la broderie sur fond de tissu de soie, et le kharrâti [11], constituent les artisanats les plus pratiqués par les femmes baloutches.

La région de Beris

Les contes baloutches ont traversé les siècles de bouche à oreille, et révèlent de nombreux détails à propos du mode de vie, des croyances, des valeurs, des espoirs et des angoisses des habitants de la région. Les contes comprennent trois genres principaux : les contes pour enfants, les contes consacrés aux adultes et les contes mythologiques pour les petits et grands. Dans le Sistân et Baloutchistân vit également une petite communauté de Sikhs indiens installés depuis plus de quatre-vingts ans. Les descendants des rois nassaris, qui ont joué un grand rôle dans la préservation de la région contre les attaques extérieures, vivent également encore dans la région.

La juxtaposition des héritages culturels, historiques et naturels de la province du Sistân et Baloutchistân a crée une mosaïque colorée d’attractions touristiques capables de fasciner, ou du moins, de retenir l’attention des voyageurs. Si ses ressources ont été sous-estimées ou si ses trésors n’ont pas été préservés avec l’attention qu’ils méritaient, peut-être que l’intérêt croissant pour le tourisme et pour l’éco-tourisme sera susceptible de changer la donne.

Le marais de Sourati

Bibliographie :
- Ringgenberg, Patrick, Guide culturel de l’Iran, Rouzâneh, Téhéran, 2005.
- Ameriân, Hamid, Selseleh mabâhesseh ossoul-e gardeshgari (Les fondement de l’enseignement du tourisme), tome 2.
- Seyed Sadjâdi, Mansour, Râhnamây-e mokhtassar-e âssâr-e bâstâni-e Sistân (Guide concis des monuments historiques de Sistân), Organisation de gestion et de programmation de la province du Sistân et Baloutchistân, Sistân, 2003.
- Marie-Claude Villenaud, Georges, Iran,Les guides modernes Fodor, Pallas, Paris, 1971.

Notes

[1Oiseau très rare qui vit l’été en Sibérie et l’hiver dans certaines zones de la mer Méditerranée. Le nombre mondial du courlis à bec grêle est estimé à moins de 50 individus qui sont en danger d’extinction.

[2Espèce d’oiseaux de la famille des ardéidés. Ils se distinguent par un long cou, un bec long et pointu et de hautes pattes. Il a une excellente vue panoramique latérale et une très bonne vision binoculaire frontale. Il bénéficie également d’une ouïe très développée et réagit très tôt aux moindres bruits.

[3Espèce de perdrix qui a un bec court, est orange quand c’est un mâle et un bec jaunâtre terne lorsque c’est une femelle. Les pattes, dépourvues d’éperons chez les deux sexes, sont jaune-verdâtre. Les parties supérieures possèdent une couleur chamois-cannelle et la queue est rousse.

[4Les ciconiidés sont composés des familles différentes d’oiseaux : les cigognes et les sept espèces de vautours. Ils vivent dans les zones humides mais également dans les forêts.

[5Petit arbre existant en quantité dans les régions méditerranéennes. Il peut être cultivé ou pousser spontanément. Il comprend diverses espèces dont la plupart ont des fleurs blanchâtres et de petites feuilles.

[6Un genre de petits mammifères rongeurs appartenant à la famille des écureuils. Ils se trouvent majoritairement en Amérique du Nord.

[7Il fût l’un des rois de la dynastie pishdâdi, considérée comme première dynastie mythique de la Perse.

[8Dans la mythologie persane, il est le fils de Siâvash et le petit-fils d’Afrâsiâb. Il fut le guerrier le plus courageux et le plus célèbre de son époque.

[9Abol-Ghâsem Ubaidollâh ibn Abdollâh ibn Khordâd-bih Istakhri est un géographe médiéval persan. Il est notamment l’auteur de la première description des moulins à vent.

[10Historien et géographe de XIIIe siècle né en Grèce et amené comme esclave, dès son plus jeune âge, à Baghdâd. Il voyagea plusieurs fois en Perse notamment à Kish. Il est connu sous le nom de Sheikh-ol Imâm.

[11Art artisanal traditionnel qui fût très en vogue dans la Perse antique. Il était pratiqué dans les régions riches en bois car le bois comprenait le principal matériau pour la pratique de cet art. Le Sistân et Balouchistân, Oroumieh, Dezfoul, Kurdistân, Sanandadj, Kermân et Rasht font partie des villes et des régions qui sont aujourd’hui actives dans ce domaine.


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3 Messages

  • La richesse archéologique et le potentiel touristique très important du Sistân yé Balouchistân rendent cette province méconnue très attirante.
    J’espère bien un jour avoir l’immense plaisir de la visiter.
    Votre revue, que je viens de découvrir, est moult intéressante, et je vous souhaite prospérité, et longue vie. Courage !!

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  • Bonjour,
    Il est mentionné dans France Diplomatie, Conseils aux voyageurs, qu’il est fortement déconseillé de se rendre dans cette province Sistan Baloutchistan et j’ai entendu dire que les autorités iraniennes qualifiaient cette province comme un No-Go zone pour les touristes, mais que le Sistan-Balouchistan ne serait désormais plus considéré par les autorités iraniennes comme une No-Go zone pour les touristes.

    Existe-t-il des touristes étrangers qui s’y rendaient auparavant ?

    Pouvez-vous me confirmer ou infirmer cette information et m’indiquer auprès de quelles autorités avoir la bonne indication ?

    Merci pour votre réponse

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