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| CAHIER DU MOIS |
La province d’Ispahan, un foyer de la culture et de l’histoire de l’Iran (II)
La Grande mosquée d’Ispahan
Golpâyegân et son héritage architectural seldjoukide
Abyaneh,
un bijou rouge au cœur du désert
L’Écomusée du Dr Rahgoshay à Badroud :
Un outil pédagogique au service de la sauvegarde du patrimoine et de la promotion de l’identité nationale
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CULTURE
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Repères
Les populations roms en Iran
Littératurre
Esthétique de la poésie lyrique de Saadi
Né en 1345 (1967) à Zanjân, Seyyed Rezâ Mir Karimi, licencié en graphisme, a débuté sa carrière artistique en tant que réalisateur par un court-métrage en 1997. En 2000 et avec son premier long-métrage, Koudak o Sarbâz (L’enfant et le soldat), il entre dans le monde professionnel du cinéma et remporte la Montgolfière d’Argent du 22e Festival des trois continents de Nantes, et le Diplôme d’honneur du meilleur réalisateur du festival de Fajr. Il poursuit son chemin d’abord par des téléséries et ensuite par des (...)
Le film de Mohammad-Ali Fârsi intitulé Haghighat-e gomshodeh (La vérité perdue) a reçu le prix du meilleur long métrage au 4e festival de films documentaires de Téhéran Cinemâ Haghighat (ou Cinéma Vérité) qui a eu lieu du 8 au 12 novembre 2010. Ce docudrame beau et poétique commence par l’évocation d’un livre en un unique exemplaire, The Great Omar, décoré avec des pierres précieuses, qui sombra avec le Titanic. Le contenu du livre était la traduction d’Edward Fitzgerald des quatrains d’Omar Khayyâm. Dans son (...)
De la création du cinéma à Paris par les frères Lumière en 1895 jusqu’à l’arrivée de cinématographe en Iran sous le règne du roi Mozaffareddin Shâh en 1900, il a fallu attendre quelques années. Malgré cela, il fallut encore attendre avant de voir sur les écrans des productions iraniennes, étant donné que les salles obscures accueillirent pendant longtemps des films étrangers sous-titrés en persan. En 1929, la première production cinématographique iranienne fut réalisée par Ovanes Oganians et intitulée Abi va (...)
C’est en particulier à partir du début du XVIIIe siècle que l’Occident s’intéressa de plus en plus à l’Orient. On assista alors à la publication de la première traduction française des Contes des Mille et Unes Nuits par Antoine Galland en 1704. Mais c’est Montesquieu qui attira l’attention du grand public avec ses Lettres persanes en 1721. On vit également l’influence du monde ottoman dans différents domaines tels que l’habillement, la musique, la littérature et l’ameublement. L’influence de l’Orient, (...)
La notion d’artiste telle que nous l’utilisons apparaît il y a quelques siècles lorsque s’effectue, à la Renaissance, une distinction entre les arts mécaniques et les arts libéraux. Aujourd’hui encore les réalisations de certains groupes ou peuples peinent à entrer dans la catégorie art pour des raisons dont les principales touchent à la fonction et à l’économie des œuvres produites ; ainsi par exemple, les objets usuels et rituels africains témoignent d’hésitations quant à être appelés objets d’art. C’est (...)
La philosophie pour les enfants fut l’un des thèmes discutés dans les journées de philosophie organisées en Iran du 21 au 23 novembre 2010. Des invités étrangers ont présenté leur point de vue sur ce sujet et ont montré, dans des ateliers, leur façon de parler philosophie avec les enfants. Des conférenciers iraniens ont parlé de ce qui a été mis en place dans ce domaine en Iran. La philosophie pour les enfants n’a pas pour objectif de transmettre un savoir philosophique ; elle tente de développer la pensée (...)
L e musée archéologique de Téhéran (Mouzeh-ye Iran-e Bâstân) présente depuis le 12 septembre 2010, pour une durée de quatre mois, le cylindre de Cyrus (manshour-e Kourosh), prêté par le British Museum de Londres.
Le cylindre de Cyrus, petit rouleau de terre cuite d’une longueur d’environ 22 centimètres, a la particularité de présenter sur toute sa surface un texte en cunéiforme babylonien, gravé sur les ordres du roi de Perse Cyrus II le Grand, après sa conquête de l’Empire babylonien en 539 avant l’ère (...)
Indéniablement New York est la capitale de l’art moderne comme de l’art contemporain avec de splendides musées et institutions qui lui sont consacrés ainsi qu’un grand nombre de galeries aux dimensions impressionnantes où l’on trouve des œuvres des artistes des plus notoires et d’un certain nombre d’autres qui vont probablement le devenir, ou l’espèrent.
Le monde de l’art change vite à New York et son épicentre se déplace au gré de paramètres au cœur desquels sont les loyers des surfaces commerciales. (...)
Ecrit par Mohammad ‘Ali Rafi’i, ancien employé de la poste iranienne désormais à la retraite, cet ouvrage traite sous un certain regard de l’un des récits évoqués dans le Coran dans la sourate « La fourmi » (Al-Naml).
Cette sourate nous présente le prophète Salomon et David, a qui Dieu a donné une « science » (27:15). Salomon hérita ensuite de David et il lui fut appris « le langage des oiseaux » (Mantiq al-Tayr) (27:16), prodige qui inspira par la suite de nombreux mystiques et écrivains tels que ‘Attâr qui (...)
Alirezâ Hâshemi-Nejâd
Traduit par :
Introduction
L’œuvre d’art est le résultat d’un processus complexe dont les composantes principales sont recherche, réaction au milieu, sensibilité, choix de matériaux et de thèmes. La combinaison de ces composantes donnerait à la création artistique une signification particulière. Il est évident que l’analyse et l’évaluation esthétique de l’œuvre d’art ne peuvent pas rester indifférentes à l’influence et au mode de combinaison de ces éléments.
L’évaluation rationnelle de l’œuvre d’art est une discipline dont (...)
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