La Revue de Téhéran | Iran



  • Les hymnes nationaux de l’Iran
    du XIXe siècle à nos jours

    Babak Ershadi N° 139, juin 2017

    L’hymne de la République islamique d’Iran
    L’actuel l’hymne national iranien, appelé officiellement Hymne de la République islamique d’Iran, est l’œuvre du compositeur contemporain Hassan Riyâhi, né en 1944. Il a été composé dans les années 1980 et adopté officiellement par le gouvernement en 1990. Quant à ses paroles, elles sont l’œuvre du poète Sâed Bâqeri, né en 1960.
    Composé de moins de 40 mots, ce chant évoque quelques éléments fondamentaux de la civilisation iranienne et de la République islamique d’Iran, (...)



  • Le musée de la Paix de Téhéran

    Narjes Abdollâhinejâd N° 139, juin 2017

    Il est facile d’imaginer ce qui nous attend dans un musée de la guerre. Mais que nous vient-il à l’esprit lorsque nous entendons parler d’un musée de la Paix ?
    Le musée de la Paix de Téhéran (Mouzeh-ye Solh-e Tehrân), le premier du genre et unique au Moyen-Orient, est situé dans l’enceinte du Parc de la Ville de Téhéran. Après la place centrale de ce parc où se dresse la sculpture d’une colombe blanche en souvenir des victimes des armes chimiques, en longeant la partie nord de l’allée centrale, apparaît le (...)



  • Les vedettes françaises du
    Salon international de l’auto de Téhéran

    Babak Ershadi N° 139, juin 2017

    Pour la première fois depuis onze ans, le Salon international de l’auto de Téhéran a rouvert ses portes, du 14 au 18 février 2017. Les grands constructeurs automobiles européens et asiatiques ont pris part à cette exposition. Cette année, l’importance de cet événement réside dans le fait qu’après l’application, depuis janvier 2016, des accords sur le nucléaire iranien entre Téhéran et le G5+1, les sanctions qui avaient été imposées injustement à l’économie iranienne ont été levées, d’où une ouverture dans le (...)



  • Entretien avec Jamshid Heidari, producteur de films iraniens et l’un des pionniers du cinéma de guerre en Iran

    Réalisé par

    Shahnâz Salâmi N° 139, juin 2017

    Acteur, scénariste, réalisateur et producteur de films iraniens, Jamshid Heidari, né à Shirâz en 1951 (1330), commence sa carrière cinématographique en 1971 (1350) en tant qu’assistant de réalisateur. Il poursuit ses études de cinéma au Canada. Parmi ses films, nous pouvons citer Hamâseh Ghahremânân (L’Épopée des héros), Vasvaseh (La Tentation), Vakil-e Avval (Le Premier avocat), Tofangdâr (Le Mousquetaire), Farâr (La Fuite), et Marz (La Frontière).
    Shahnâz Salâmi : À votre avis, la situation des droits (...)



  • Châteaux et paysages d’Iran*

    Jean-Claude Voisin N° 139, juin 2017

    Marqué par une histoire géologique exceptionnelle, au contact de grandes plaques tectoniques qui ont façonné ses paysages, l’Iran offre une diversité de paysages sans précédent. Ces paysages, tout en compliquant l’implantation humaine, vont offrir aux populations comme aux différentes dynasties qui régnèrent sur le sol de l’Iran actuel des terrains favorables à l’installation de fortifications spectaculaires. En particulier de la période urartienne (IXe-VIIe s av. J.-C.) à l’époque seljoukide (XIe-XIIIe (...)



  • De la couleur des chênes

    Présentation, choix et traduction par
    Rezâ Abdollâhi

    Jalil Safarbeygui N° 139, juin 2017

    Né en 1973, Djalil Safarbeygui est un poète contemporain iranien que l’on pourrait qualifier d’"extrême". Comprenant le langage des chênes et des montagnes embrumées, sa poésie s’exprime en particulier dans la forme du quatrain, sous la tutelle d’illustres prédécesseurs comme Khayyâm, Attar, Mowlavi. Le quatrain s’est présenté à côté du ghazal comme forme lyrique plus vivante et flexible que d’autres formes traditionnelles de la poésie persane, et il est aujourd’hui encore pratiqué du fait de cette souplesse (...)



  • Histoire de la province du
    Khorâssân (Razavi)

    Afsaneh Pourmazaheri N° 138, mai 2017

    Le Khorâssân ou Khurasan tient son nom d’origine du mot « Khowrâssân », constitué de deux lexies : « khowr » (le soleil) et « âssân » (apparaître). C’est une région historique comprenant un vaste territoire maintenant situé au nord-est de l’Iran, au sud du Turkménistan, et au nord de l’Afghanistan. La partie nord du Khorâssân comprend un prolongement de l’est des montagnes d’Alborz et une crête indépendante, le Kopet-Dag. Un grand désert de sel, Dasht-e Kavir, avec des marécages à plantes feuillues, recouvre le (...)



  • Astan Qods-e Razavi
    Le sanctuaire de la lumière

    Babak Ershadi N° 138, mai 2017

    Histoire de la vie de l’Imâm Rezâ
    Imâm Ali ibn Moussâ al-Rezâ est un descendant direct au sixième degré du Prophète, et le huitième Imâm des musulmans. Selon les croyances chiites, tout comme les Imâms précédents, il est une haute figure spirituelle qui contribua à la consolidation de la croyance en l’unicité de Dieu, ainsi qu’à l’établissement de la justice et des vertus dans le monde. L’Imâm Ali ibn Moussâ al-Rezâ naquit le 11 Dhou al-Qida 148 de l’Hégire (766). Son père était l’Imâm Moussâ ibn Ja’far et sa (...)



  • Ses photos du Khorâssân,
    rempart aux clichés

    Propos recueillis par

    Samuel Hauraix N° 138, mai 2017

    Rox Khorasani a un pied en France, l’autre en Iran, comme beaucoup d’autres. Pour faire le pont entre les deux cultures, la jeune femme, née à Paris, a choisi la photo. Depuis des années, cette « photographe autodidacte » sillonne Mashhad et sa région, celle de son père, pour « regarder l’Iran dans les yeux ». Il en est ressorti quatre séries de photos qui viennent d’être exposées dans une galerie parisienne. En attendant, qui sait, une exposition en Iran.
    Iran, France. Iraniens, Français. « Eux », « nous (...)



  • Les pèlerins de la rue Erfân à Neyshâbour

    Saeid Khânâbâdi N° 138, mai 2017

    A Neyshâbour, il y a une rue qui ne ressemble guère aux autres. Cette rue est un passage mystérieux grâce auquel on peut traverser les dimensions de l’espace et du temps, un chemin magique entre le présent et le passé, entre le nouveau et l’ancien, entre la matière et l’esprit, entre une ville physique et son âme métaphorique. Cette voie commence par le Jardin des délices de Khayyâm et s’achève aux sept cités attariennes de l’amour. Cette rue de quelques kilomètres, apparemment ordinaire, est tracée dans un (...)


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