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CAHIER DU MOIS |
La province d’Ispahan, un foyer de la culture et de l’histoire de l’Iran (II)
La Grande mosquée d’Ispahan
Golpâyegân et son héritage architectural seldjoukide
Abyaneh,
un bijou rouge au cœur du désert
L’Écomusée du Dr Rahgoshay à Badroud :
Un outil pédagogique au service de la sauvegarde du patrimoine et de la promotion de l’identité nationale
CULTURE
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Repères
Les populations roms en Iran
Littératurre
Esthétique de la poésie lyrique de Saadi
I.
I’m there
in the City of Broken Persian Empire
I saw people singing
and children working
I saw vodka cheating
and patience learning
Enlightment everywhere
and Love burst
real trust and religion crumbs
and the spirits of high beings
waiting kindly for the time
of recognition
IV.
Do not say
“I’m no one”
because
you are
someone.
II.
The Highness of Persia
in the people
coming down
from the mountains
after a long walk
among the secrets
of the universe
V.
The Pot Maker (...)
Les études sociologiques attestent que dans toute société, il y a bon nombre de coutumes et d’habitudes provenant des traditions anciennes des peuples. De plus, selon ces études, la religion a été l’une des plus anciennes éducations offertes dans des institutions éducatives. Autrefois, les jeunes enfants débutaient leurs études par l’éducation religieuse destinée à leur offrir une vie culturelle, sociale et économique plus élevée.
Les fondateurs de la civilisation iranienne, pour leur part, ont également (...)
Traduction et adaptation :
N° 160, mars 2019Au fil de leur histoire, les Iraniens ont porté une attention particulière aux entraînements physiques et moraux. La société traditionnelle iranienne a depuis toujours accordé une place sacrée aux zûrkhâneh, littéralement "maison de la force", où l’on suivait à la fois des entraînements de musculation et des enseignements de morale. En ce lieu se diffusent des qualités humaines, telles que la chevalerie mystique islamique (Javânmardi), l’abnégation et la bravoure. Fournissant une place où sont pratiqués (...)
Quatre jeux, plus ou moins spectaculaires, sont prédominants dans la province du Guilân (nord de l’Iran) et emblématiques de l’identité régionale : morghâneh jang (guerres de l’œuf), lâfand-bâzi (la corde raide), koshti-e Guileh-mardi (lutte traditionnelle du Gilân) et varzâ Jang (guerre des taureaux). Le premier, associé à la fête de Norouz, a pour protagonistes deux individus qui se jettent des œufs. Il se pratique souvent dans l’espace privé, mais aussi parfois en public, les jours de marché sur la place (...)
Une femme apparaît à l’horizon. Elle s’approche sur son cheval galopant. La foule enthousiaste l’attendait impatiemment depuis quelque temps. Une femme nomade aux habits colorés, des habits qui étincèlent sous l’effet des rayons du soleil encore froid de ce matin printanier. Une dame aux cheveux longs et noirs, des cheveux qui dansent doucement dans la liberté provisoire que l’écharpe en laine légèrement nouée et le zéphyr caressant du Zagros lui offrent. Son regard perçant, son visage déterminé brisent (...)
Traduction : Sârâ Mirdâmâdi
N° 160, mars 2019Présentation générale
Le projet intitulé « Escrime historique et arts martiaux perses traditionnels » vise à faire revivre les techniques de combat des guerriers persans sur la base d’une analyse académique des techniques décrites dans les manuscrits persans des différentes époques. Faire renaître et revivre l’escrime persane ainsi que les arts martiaux traditionnels iraniens constitue un projet important qui inclut différents arts de combat et de lutte ayant été employés par les tribus iraniennes au (...)
Tout au long de l’histoire, la femme a essuyé de grandes injustices. Elle a souvent été dépourvue de ses droits les plus élémentaires et considérée comme inférieure à l’homme autant sur le plan physique que moral.
En portant un regard attentif sur la place de la femme dans les civilisations et les religions antérieures à l’islam, on constatera que ce dernier se distingue par l’estime qu’il réserve à la femme. Dans cet article, en prenant en considération d’autres points de vue, nous essaierons de répondre (...)
Bodhidharma fut un moine bouddhiste qui vécut aux Ve et VIe siècles de notre ère. Il est traditionnellement reconnu comme l’enseignant et le premier patriarche de Chan en Chine.
Le chan (sanskrit : dhyana, japonais : zen) signifie « méditation silencieuse » en chinois classique. Le chan naquit en Chine à partir du Ve siècle apr. J.-C. et consiste, en général, sur l’accession à l’expérience directe de l’« éveil » par la méthode la plus simple qui puisse exister, c’est-à-dire la méditation. Selon la (...)
La modernité est perçue, de nos jours, comme étant un danger satanique menaçant l’identité sociétale. Le plus souvent ce genre de discours est de cette nature idéologique qui résiste aux changements. Pour expliciter cela, nous avons tenté de remettre en question ce concept, et de fouiller dans l’histoire ainsi que dans l’héritage philosophique occidental en vue de repérer ses fondements épistémologiques, surtout que nous sommes devant une conception qui est par excellence plurielle, complexe, insaisissable (...)
La 10e édition du Festival international Farabi pour les études humaines et islamiques a eu lieu le 27 janvier 2019 à Téhéran lors d’une cérémonie où 16 auteurs et chercheurs iraniens et 7 personnalités étrangères ont obtenu des prix (prix Farabi International Award) décernés par le ministère iranien de la Science, des Recherches et de la Technologie. Les sept lauréats étrangers étaient :
Études islamiques : Khusro Qasim (Inde) et Raul Gonzalez Bornez (Espagne).
Études iraniennes : Safar Abdulloyev (...)
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